Les Energies Solaires pour économiser sa consommation d'énergie domestique sont possibles en utilisant deux types de technologies :
- 1ère Technologie : " Les Panneaux Thermiques "
Un panneau thermique permet de fournir entre 40 et 70 % des besoins d'énergie de l'habitat et de 30 à 50 % des besoins de chauffage et eau sanitaire, suivant la région ou vous habitez. Cette installation de chauffage est écologique (source d'énergie propre). Une installation thermique, source d'énergie propre, permet souvent l'arrêt total de la chaudière, principalement pendant l'été ainsi qu'en demi-saison.
Equipements domestiques :
Le chauffe-eau solaire, Chauffage Piscine
- 2ème Technologie : " Les Panneaux Photovoltaïques "
Le panneau solaire photovoltaïque est une installation solaire qui fait partie de l'équipement des énergies renouvelables, permettant de produire de l'électricité par transformation d'une partie du rayonnement solaire grâce à une cellule photovoltaïque (monocristallins).
Plusieurs cellules sont reliées entre-elles sur un panneau solaire photovoltaïque.
Plusieurs panneaux sont regroupés pour former une installation solaire.
Cette installation peut-être isolée et fonctionner en chargeant des batteries et alimenter votre habitat en électricité, ou alimenter un réseau de distribution électrique tel que EDF.
Un panneau photovoltaïque produit du courant continue, pour fournir en énergie les équipements électriques de votre maison.
Equipement domestique : Installation électrique solaire
Vous pouvez découvrir toutes ces explications et même créer votre propore installation solaire en lisant la suite ....
http://www.neo-traffic.net/energie-solaire/
À propos de l'auteur :
Sophie GARCIA a une passion pour les nouvelles technologies et notamment les énergies d'avenir comme l'énergie solaire. Cette énergie renouvelable correspond aux efforts quotidien de Sophie GARCIA pour sauver notre planète contre tout abus écologique.
http://www.neo-traffic.net/energie-solaire/
jeudi 31 mars 2011
mardi 29 mars 2011
Ordinateur d'occasion : faites un geste pour l'environnement
Comme vous l'avez constaté, notre planète est mise à rude épreuve et il devient essentiel, dans notre vie de tous les jours, de faire des bonnes actions pour préserver celle-ci. Le recyclage de matériel électronique et l'utilisation d'ordinateur d'occasion en font partie.
Vous le savez peut-être, les dernières études scientifiques estiment que 2% des émissions de gaz carbonique sont générées par les technologies de l'information. Par ailleurs ces mêmes technologies de l'information contribuent à la destruction de la biodiversité.
Dans ce sens, nous ne pouvons que vous encourager à recycler vos anciens matériels électroniques et à acquérir des ordinateurs d'occasion plutôt que du matériel neuf qui nécessite, pour leur production, une consommation d'énergie supplémentaire.
Par ailleurs, un ordinateur d'occasion vous permettra de préserver votre budget, chose non négligeable en période de crise économique. Votre Pc d'occasion vous permettra également de répondre à vos besoins informatiques de la même manière qu'un ordinateur neuf. Alors pourquoi dépenser plus ? L'occasion est aujourd'hui une vraie tendance de consommation qu'il faut développer.
Vous trouverez sans aucun problème une boutique en ligne qui propose du matériel informatique d'occasion de bonne qualité et avec une garantie. Pour ce faire, utilisez votre navigateur web favori et utilisez des mots clés comme Pc d'occasion pas cher ou acheter un ordinateur d'occasion.
L'achat d'une voiture d'occasion est une habitude de consommation tout à fait courante, alors pourquoi ne pas prendre l'habitude d'acheter votre mobile d'occasion, votre ordinateur d'occasion ou tout autre appareil électronique d'occasion ?
Nous espérons que grâce à cet article, vous aurez pris conscience de la nécessité de changer nos habitudes de consommation en faveur du matériel informatique d'occasion.
À propos de l'auteur :
Passionné d'environnement, je m'intéresse à toutes les nouvelles tendances qui protègent notre planète. L'occasion est un mode de consommation essentiel pour préserver l'environnement
Vous le savez peut-être, les dernières études scientifiques estiment que 2% des émissions de gaz carbonique sont générées par les technologies de l'information. Par ailleurs ces mêmes technologies de l'information contribuent à la destruction de la biodiversité.
Dans ce sens, nous ne pouvons que vous encourager à recycler vos anciens matériels électroniques et à acquérir des ordinateurs d'occasion plutôt que du matériel neuf qui nécessite, pour leur production, une consommation d'énergie supplémentaire.
Par ailleurs, un ordinateur d'occasion vous permettra de préserver votre budget, chose non négligeable en période de crise économique. Votre Pc d'occasion vous permettra également de répondre à vos besoins informatiques de la même manière qu'un ordinateur neuf. Alors pourquoi dépenser plus ? L'occasion est aujourd'hui une vraie tendance de consommation qu'il faut développer.
Vous trouverez sans aucun problème une boutique en ligne qui propose du matériel informatique d'occasion de bonne qualité et avec une garantie. Pour ce faire, utilisez votre navigateur web favori et utilisez des mots clés comme Pc d'occasion pas cher ou acheter un ordinateur d'occasion.
L'achat d'une voiture d'occasion est une habitude de consommation tout à fait courante, alors pourquoi ne pas prendre l'habitude d'acheter votre mobile d'occasion, votre ordinateur d'occasion ou tout autre appareil électronique d'occasion ?
Nous espérons que grâce à cet article, vous aurez pris conscience de la nécessité de changer nos habitudes de consommation en faveur du matériel informatique d'occasion.
À propos de l'auteur :
Passionné d'environnement, je m'intéresse à toutes les nouvelles tendances qui protègent notre planète. L'occasion est un mode de consommation essentiel pour préserver l'environnement
lundi 28 mars 2011
Réveille-toi, révolte-toi
| |
Il est beaucoup, beaucoup plus tard que tu le penses
Il ne s'agit vraiment plus que d'ours polaires. En ce moment le destin de la civilisation ne tient qu'à un fil. Jusqu'à présent les calculs sur le réchauffement planétaire ont omit une pièce cruciale du tableau. Le climat planétaire est dangereusement proche de son point de basculement, un point de non-retour, après lesquels des conséquences catastrophiques deviennent inéluctables.Réveille toi, révolte-toi est un court métrage animé sur un des plus grands défis de l’histoire humaine : éviter le réchauffement planétaire incontrôlable.
Un court métrage animé de Leo Murray
DVD multilingue - 11:30 minutes
Audio: français, allemand, anglais et hongrois
Sous-titres en anglais, neerlandais
Autres traductions prochainement
Script, références et liens sur: http://wakeupfreakout.org
Version française: carbondowntozero.org
samedi 26 mars 2011
Comment nettoyer sans polluer et en faisant des économies
Nettoyer sans polluer et en dépensant moins dans la vie quotidienne est un challenge pour beaucoup d’entre nous. Vous pouvez découvrir ou redécouvrir des produits d’hygiène et d’entretien qui peuvent remplacer efficacement des dizaines de produits qui souvent sont polluants et qui grèvent votre budget.
Nettoyer sans polluer, c’est agir en faveur de l’environnement au quotidien. Ca passe par l’entretien ménager. Vous pouvez vous passer de la plupart des produits proposés partout avec surenchère de publicité. Et là encore, ces nombreux gestes écologiques vous permettront de faire de réelles économies.
Avant de savoir nettoyer sans polluer, prenons connaissance de quelques données. Le saviez-vous? Voici ce que consomme une famille chaque année:
- 3 à 4 litres de liquide vaisselle,
- 10 à 20 litres de nettoyants ménagers,
- 220 lessives, soit 26 litres de lessive liquide ou 24 kg de lessive en poudre.
Ces produits sont rejetés dans nos rivières, via des stations d'épuration, ils entraînent parfois des conséquences très néfastes. Vous pouvez aisément les remplacer par des produits de tous les jours comme le vinaigre blanc, le sel, le bicarbonate de soude le citron ou le marc de café, pour nettoyer sans polluer.
Cela vous fera de la place dans vos placards, allégera votre budget hygiène, entretien et fera du bien à votre santé et à votre environnement. De quoi aisément nettoyer sans polluer. Le nombre d'usages possibles par exemple, du bicarbonate de soude est incroyable. On n'en finit plus de lui trouver des applications.
On l'utilise pour soigner, cuisiner, nettoyer, jardiner, voire même comme pesticide. Rares sont les autres produits domestiques qui peuvent en faire autant. Pour le vinaigre, c’est pareil. On redécouvre désormais ses merveilleux pouvoirs que connaissaient déjà les romains. Ils attribuaient au vinaigre des propriétés médicinales. Ils s’en servaient pour purifier leur eau et il leur était ainsi facile de nettoyer sans polluer.
Le vinaigre blanc et le bicarbonate de soude constituent les produits écolos idéaux. Ils peuvent remplacer détergents, dégraissants et autres désherbants chimiques dans la maison et dans le jardin. Ce sont d’excellents produits pour nettoyer sans polluer l’environnement.
Nettoyer sans polluer, c’est agir en faveur de l’environnement au quotidien. Ca passe par l’entretien ménager. Vous pouvez vous passer de la plupart des produits proposés partout avec surenchère de publicité. Et là encore, ces nombreux gestes écologiques vous permettront de faire de réelles économies.
Avant de savoir nettoyer sans polluer, prenons connaissance de quelques données. Le saviez-vous? Voici ce que consomme une famille chaque année:
- 3 à 4 litres de liquide vaisselle,
- 10 à 20 litres de nettoyants ménagers,
- 220 lessives, soit 26 litres de lessive liquide ou 24 kg de lessive en poudre.
Ces produits sont rejetés dans nos rivières, via des stations d'épuration, ils entraînent parfois des conséquences très néfastes. Vous pouvez aisément les remplacer par des produits de tous les jours comme le vinaigre blanc, le sel, le bicarbonate de soude le citron ou le marc de café, pour nettoyer sans polluer.
Cela vous fera de la place dans vos placards, allégera votre budget hygiène, entretien et fera du bien à votre santé et à votre environnement. De quoi aisément nettoyer sans polluer. Le nombre d'usages possibles par exemple, du bicarbonate de soude est incroyable. On n'en finit plus de lui trouver des applications.
On l'utilise pour soigner, cuisiner, nettoyer, jardiner, voire même comme pesticide. Rares sont les autres produits domestiques qui peuvent en faire autant. Pour le vinaigre, c’est pareil. On redécouvre désormais ses merveilleux pouvoirs que connaissaient déjà les romains. Ils attribuaient au vinaigre des propriétés médicinales. Ils s’en servaient pour purifier leur eau et il leur était ainsi facile de nettoyer sans polluer.
Le vinaigre blanc et le bicarbonate de soude constituent les produits écolos idéaux. Ils peuvent remplacer détergents, dégraissants et autres désherbants chimiques dans la maison et dans le jardin. Ce sont d’excellents produits pour nettoyer sans polluer l’environnement.
jeudi 24 mars 2011
Tri des déchets : Comment réduire les déchets tout en faisant des économies
Eau
Pour commencer à réduire des déchets domestiques, buvez de l'eau du robinet plutôt qu'en bouteille. Ainsi, on économise l'achat d'eau minérale et on évite de jeter trop de bouteilles en plastique.
-Cuisine
Un autre moyen de réduire des déchets et de faire la cuisine. Vous pouvez faire vos yaourts par exemple, c’est délicieux et beaucoup moins cher. De plus, vous réduisez notamment les emballages. Évitez les plats préparés en conserves et surgelés également plus chers.
Quand vous cuisinez un plat, faites en pour plusieurs repas et placez les au congélateur dans des Tupperwares ou des barquettes de glace vides. Cela vous fera également réduire des déchets, en économisant du papier aluminium ou des barquettes vendues à cet effet.
-Jardin
Si vous avez un jardin, pensez que les déchets de cuisine peuvent être recyclés en compost pour le jardin, le marc de café, les épluchures de légumes et de fruits.
Pour réduire encore plus de déchets, utilisez de préférence une éponge, une serviette ou un torchon pour nettoyer et essuyer. Réduisez au maximum tous les produits jetables : mouchoirs, lingettes, rasoirs, appareils photos jetables qui sont des investissements à perte.
-Courrier
Pensez à signaler sur votre boîte aux lettres, votre refus de recevoir des courriers publicitaires. A l'aide d'un autocollant, c'est simple et ça permet d'économiser 42 kg de papier par an. Vous rendez-vous compte à quel point cela vous permet de réduire des déchets.
Appareils électriques
Entretenez tous vos appareils électriques afin qu’ils durent le plus longtemps possible. En cas de changement, ne jetez plus vos vieux appareils électriques. Ce n’est pas le meilleur moyen de réduire des déchets. Ils peuvent encore servir. Tout objet à jeter peut servir à quelqu'un d'autre. Vous pouvez le donner à un ami bricoleur, une association caritative, voire même le vendre en occasion.
-Courses
Pour faire vos courses et réduire des déchets, utilisez un cabas et évitez au maximum les sacs en plastique. Vous pouvez opter le plus possible pour des achats en vrac ou encore à la coupe. Limitez les produits en portions individuelles et les produits aux multiples emballages. Les emballages sont tentants, mais inutiles : leurs couleurs et leurs présentations servent très souvent à attirer le consommateur, pourtant ils ne prouvent par la qualité du produit.
Fruits et légumes
Pour les fruits et légumes, une astuce simple : pesez les fruits et légumes séparément et mettez les ensemble dans un seul sac sur lequel on collera toutes les étiquettes. Évitez les barquettes de fruits ou légumes déjà emballés sous film plastique qui ne pourront être recyclés. Voilà quelques conseils faciles à suivre parmi beaucoup d’autres solutions économiques et durables pour réduire des déchets régulièrement.
Pour commencer à réduire des déchets domestiques, buvez de l'eau du robinet plutôt qu'en bouteille. Ainsi, on économise l'achat d'eau minérale et on évite de jeter trop de bouteilles en plastique.
-Cuisine
Un autre moyen de réduire des déchets et de faire la cuisine. Vous pouvez faire vos yaourts par exemple, c’est délicieux et beaucoup moins cher. De plus, vous réduisez notamment les emballages. Évitez les plats préparés en conserves et surgelés également plus chers.
Quand vous cuisinez un plat, faites en pour plusieurs repas et placez les au congélateur dans des Tupperwares ou des barquettes de glace vides. Cela vous fera également réduire des déchets, en économisant du papier aluminium ou des barquettes vendues à cet effet.
-Jardin
Si vous avez un jardin, pensez que les déchets de cuisine peuvent être recyclés en compost pour le jardin, le marc de café, les épluchures de légumes et de fruits.
Pour réduire encore plus de déchets, utilisez de préférence une éponge, une serviette ou un torchon pour nettoyer et essuyer. Réduisez au maximum tous les produits jetables : mouchoirs, lingettes, rasoirs, appareils photos jetables qui sont des investissements à perte.
-Courrier
Pensez à signaler sur votre boîte aux lettres, votre refus de recevoir des courriers publicitaires. A l'aide d'un autocollant, c'est simple et ça permet d'économiser 42 kg de papier par an. Vous rendez-vous compte à quel point cela vous permet de réduire des déchets.
Appareils électriques
Entretenez tous vos appareils électriques afin qu’ils durent le plus longtemps possible. En cas de changement, ne jetez plus vos vieux appareils électriques. Ce n’est pas le meilleur moyen de réduire des déchets. Ils peuvent encore servir. Tout objet à jeter peut servir à quelqu'un d'autre. Vous pouvez le donner à un ami bricoleur, une association caritative, voire même le vendre en occasion.
-Courses
Pour faire vos courses et réduire des déchets, utilisez un cabas et évitez au maximum les sacs en plastique. Vous pouvez opter le plus possible pour des achats en vrac ou encore à la coupe. Limitez les produits en portions individuelles et les produits aux multiples emballages. Les emballages sont tentants, mais inutiles : leurs couleurs et leurs présentations servent très souvent à attirer le consommateur, pourtant ils ne prouvent par la qualité du produit.
Fruits et légumes
Pour les fruits et légumes, une astuce simple : pesez les fruits et légumes séparément et mettez les ensemble dans un seul sac sur lequel on collera toutes les étiquettes. Évitez les barquettes de fruits ou légumes déjà emballés sous film plastique qui ne pourront être recyclés. Voilà quelques conseils faciles à suivre parmi beaucoup d’autres solutions économiques et durables pour réduire des déchets régulièrement.
mercredi 23 mars 2011
L'écotaxe: participer au recyclage
L'écotaxe : Participer au recyclage des appareils électriques et électroniques.
Le numérique et la haute technologie nous obligent à consommer plus, c'est une évidence. Les besoins que nous éprouvons avec ces nouveaux appareils électriques ou électroniques augmentent chaque année si bien que les déchets occasionnés progressent aussi. Mais ils doivent être recyclés pour en faire de nouvelles matières premières.
Le décret du 20 juillet 2005, mis en place par l'Union Européenne, prévoit l'installation d'une nouvelle filière de collecte et de recyclage des équipements électriques et électroniques. L'intérêt est primordial et nous concerne tous. Ne jetons plus nos anciens appareils électriques et électroniques dans la nature.
Quels sont les appareils concernés ?
1°) Les gros appareils ménagers hors froid : lave-linge, sèche-linge, lave-vaisselle, cuisinière, four…
2°) Les gros appareils ménagers froid : réfrigérateur, congélateur, climatiseur …
3°) Les petits appareils ménagers : aspirateur, machine à coudre, sèche-cheveux, grille-pain, cafetière, friteuse, fer à repasser…
4°) Les équipements informatique : ordinateur, imprimante, clavier, souris…
5°) Les équipements de télécommunication : téléphone fixe, téléphone mobile, télécopieur, répondeur…
6°) Les équipements image et son : chaîne hi-fi, poste de radio, téléviseur, magnétoscope, caméscope, projecteur…
7°) Les outils électriques et électroniques : matériel électro-portatif, outils de jardinage…
8°) Les jouets, équipements de loisirs et de sport : console de jeux, jouets électriques…
9°) Les sources lumineuses : lampes à économie d'énergie, tubes néon…
Mais attention : les ampoules halogènes et à filament ne sont pas recyclées.
Comment faire pour vous débarrasser de vos appareils électriques et électroniques en fin de vie ?
Ne les jetez jamais à la poubelle. Donnez les plutôt à une association sociale ou solidaire qui saura les faire recycler. Si vous achetez un nouvel appareil de même type le magasin doit vous reprendre l'ancien modèle dans le but de le recycler. Dans les autres cas, les appareils électriques et électroniques doivent être déposés dans une collecte ou une déchèterie.
Une fois entreposés dans ces endroits spécifiques, les déchets d'équipements électriques et électroniques seront acheminés dans des sites de traitement spécialisés pour y être dépollués, puis recyclés dans le but d'obtenir de nouvelles matières premières.
Mais tout cela représente un coût pour l'acheteur que vous êtes. Vous devrez désormais vous acquitter du montant de l'appareil électrique ou électronique neuf augmenté de l'éco-participation différente selon les modèles d'appareils. Cette éco-participation finance la collecte, le transport, le tri, le traitement et le recyclage des anciens appareils électriques ou électroniques.
Autre possibilité pour participer à une solidarité sociale : donner vos déchets d'équipements électriques et électroniques à des associations comme Emmaüs par exemple ( mais il y en a d'autres ), qui pourront employer des personnes en difficulté et permettre dans le même temps à des familles aux revenus modestes de s'équiper avec du matériel remis en état.
À propos de l'auteur :
Jean-Marie Noguier
http://www.accessoires-informatique.com
Le numérique et la haute technologie nous obligent à consommer plus, c'est une évidence. Les besoins que nous éprouvons avec ces nouveaux appareils électriques ou électroniques augmentent chaque année si bien que les déchets occasionnés progressent aussi. Mais ils doivent être recyclés pour en faire de nouvelles matières premières.
Le décret du 20 juillet 2005, mis en place par l'Union Européenne, prévoit l'installation d'une nouvelle filière de collecte et de recyclage des équipements électriques et électroniques. L'intérêt est primordial et nous concerne tous. Ne jetons plus nos anciens appareils électriques et électroniques dans la nature.
Quels sont les appareils concernés ?
1°) Les gros appareils ménagers hors froid : lave-linge, sèche-linge, lave-vaisselle, cuisinière, four…
2°) Les gros appareils ménagers froid : réfrigérateur, congélateur, climatiseur …
3°) Les petits appareils ménagers : aspirateur, machine à coudre, sèche-cheveux, grille-pain, cafetière, friteuse, fer à repasser…
4°) Les équipements informatique : ordinateur, imprimante, clavier, souris…
5°) Les équipements de télécommunication : téléphone fixe, téléphone mobile, télécopieur, répondeur…
6°) Les équipements image et son : chaîne hi-fi, poste de radio, téléviseur, magnétoscope, caméscope, projecteur…
7°) Les outils électriques et électroniques : matériel électro-portatif, outils de jardinage…
8°) Les jouets, équipements de loisirs et de sport : console de jeux, jouets électriques…
9°) Les sources lumineuses : lampes à économie d'énergie, tubes néon…
Mais attention : les ampoules halogènes et à filament ne sont pas recyclées.
Comment faire pour vous débarrasser de vos appareils électriques et électroniques en fin de vie ?
Ne les jetez jamais à la poubelle. Donnez les plutôt à une association sociale ou solidaire qui saura les faire recycler. Si vous achetez un nouvel appareil de même type le magasin doit vous reprendre l'ancien modèle dans le but de le recycler. Dans les autres cas, les appareils électriques et électroniques doivent être déposés dans une collecte ou une déchèterie.
Une fois entreposés dans ces endroits spécifiques, les déchets d'équipements électriques et électroniques seront acheminés dans des sites de traitement spécialisés pour y être dépollués, puis recyclés dans le but d'obtenir de nouvelles matières premières.
Mais tout cela représente un coût pour l'acheteur que vous êtes. Vous devrez désormais vous acquitter du montant de l'appareil électrique ou électronique neuf augmenté de l'éco-participation différente selon les modèles d'appareils. Cette éco-participation finance la collecte, le transport, le tri, le traitement et le recyclage des anciens appareils électriques ou électroniques.
Autre possibilité pour participer à une solidarité sociale : donner vos déchets d'équipements électriques et électroniques à des associations comme Emmaüs par exemple ( mais il y en a d'autres ), qui pourront employer des personnes en difficulté et permettre dans le même temps à des familles aux revenus modestes de s'équiper avec du matériel remis en état.
À propos de l'auteur :
Jean-Marie Noguier
http://www.accessoires-informatique.com
mardi 22 mars 2011
Le marketing de l'environnement et de l'écologie: Quel impact sur les Marocains ?
Notre planète court un grand danger à cause des différentes menaces causées par le changement climatiques, la pollution et les différents produits crées par l'Homme. Tous le monde est concerné et donc tous le monde doit réagir…
Ayant compris l'ampleur de ce fléau, les grandes multinationales ainsi que les entreprises « intelligentes » ont commencé à adopter un nouveau concept dans la stratégie de marketing qui est « l'écologie ».
Les différentes publicités qu'on retrouve actuellement en Europe développent ce thème en mettant en avant le produit à travers l'écologie et les bienfaits qu'il peut rapporter à notre planète, en sensibilisant les consommateurs sur ce domaine.
Au Maroc, ce concept n'est pas encore encré dans notre mentalité ou dans notre culture. Les entreprises marocaines n'ont pas encore le reflex de sensibiliser les consommateurs par le biais de l'écologie. Peut être que le marocain n'est pas encore prêt pour absorber cette nouvelle stratégie des entreprises ?
De nombreuses entreprises (industrielles ou de grandes consommations) ont actuellement comme objectif marketing, le développement durable.
Tout entreprise peut s'intégrer dans ce concept. Toutefois, des normes sont Indispensables : Il faut d'abord que l'entreprise en question procède à des changements dans tous les services : définir l'éthique qui va être suivie, établir une charte, veille technologique et concurrentielle accrue, former le personnel à cette nouvelle voie afin de ne pas risquer un rejet du projet.
En Europe, il existe un « Système de management environnemental et d'audit de l'Union Européenne » (EMAS), qui a comme principale fonction, l'audit des entreprises volontaires sur leur management environnemental, sachant que les résultats de cette étude seront mise à disposition du public.
En effet, les entreprises et les consommateurs sont bien sensibilisés et prêts à s'investir sur un tel marché, mais néanmoins, ils restent assez sceptiques face à toutes les promesses que donnent les entreprises pour protéger l'environnement.
Cette nouvelle mode de parler d'écologie, touche tous les secteurs d'activité : de la politique avec l'extraordinaire popularité de la campagne de Nicolas Hulot pour mettre le sujet au top des priorités pour les élections présidentielles, au secteur de l'automobile démontré dans les différentes campagnes lancées ses dernières années.
Au Maroc, la notion d'écologie dans les stratégies marketing et communication est en cours de développement, elle commence à peine à prendre son envol dans le monde de la publicité marocaine.
On peut prendre comme exemple le cas de Procter et Gamble qui est une entreprise qui cherche à intégrer le développement durable à tous les niveaux. Exemple avec la lessive Ariel actif à froid pour laquelle Procter et Gamble a mis au coeur de la publicité des arguments sur les économies d'argent et d'énergie (lave blanc même à froid). Cela se présente comme un nouveau geste pour l'environnement. C'est de la pédagogie auprès des consommateurs.
Effectivement, c'est donc un nouveau concept qui prend beaucoup d'ampleur au Maroc.
Des groupements d'associations de protection de l'environnement se sont réunit le 1 Mai 2008 dans le Maroc du Nord autour de Écolo Plateforme Maroc du Nord, pour revoir les conventions et protocoles concernant les graves atteintes portées à l'égard de nos patrimoines écologiques et paysagers au nom du développement économique et de la promotion touristique mais au détriment du développement durable.
Grâce à son ouverture vers l'Europe et à la mondialisation, le mode de vie du consommateur marocain a complètement changé dans ses dimensions économiques et culturelles. Cette forte mutation concerne en effet toutes les catégories socioprofessionnelles.
Ce changement de comportement du consommateur, expliqué par la colonisation, la proximité de l'Europe, etc., peut être constatable d'une ville à l'autre à l'intérieur du même Maroc : le comportement des consommateurs de Casablanca, qui est une grande agglomération, une ville industrielle, n'est pas le même que celui des consommateurs de la ville de Fès, Marrakech ou autre, car chaque ville a son histoire….
Cette ouverture d'esprit des marocains peut donc comprendre et respecter ce concept d'environnement et de développement durable.
Les constructeurs automobiles peuvent donc parler de protection de l'environnement avec les nouvelles technologies disponible actuellement ; la grande consommation peut aborder le sujet de l'emballage bio dans ses campagnes de communication.
C'est ainsi que l'on peut inculquer cette façon de voir et cette façon de vivre aux consommateurs marocains qui pourront participer ou croire participer à la protection de l'environnement.
Néanmoins, les entreprises qui voudront adopter ce concept ne doivent pas faire de la « publicité mensongère » juste pour le fait de dire qu'elle fait de la « pub écolo » ! C'est pour cela qu'un contrôle très rigoureux doit être mis en place pour un suivi de très près.
Il est à préciser que la protection de l'environnement ne pourra se faire au Maroc grâce à la publicité écologie seulement ! Il est important de préciser que le comportement du marocain est la source du problème, et que l'éducation dans ce sens est nécessaire dès le plus jeune âge afin d'adopter une conduite saine.
La sensibilisation est donc un terme récurrent qu'on évoque souvent car au final, c'est le moyen le plus sûr pour faire bouger les choses….
Salma EL BOURY
Master Marketing et Communication
ESC TOULOUSE
CEFOR-CASABLANCA
À propos de l'auteur :
Salma EL BOURY, étudiante en Master ESC Toulouse en Marketing et Communication délocalisé au CEFOR Entreprise à Casablanca Maroc. Chef de Publicité dans une grande agence conseil en communication publicitaire à Casablanca (Maroc).
Ayant compris l'ampleur de ce fléau, les grandes multinationales ainsi que les entreprises « intelligentes » ont commencé à adopter un nouveau concept dans la stratégie de marketing qui est « l'écologie ».
Les différentes publicités qu'on retrouve actuellement en Europe développent ce thème en mettant en avant le produit à travers l'écologie et les bienfaits qu'il peut rapporter à notre planète, en sensibilisant les consommateurs sur ce domaine.
Au Maroc, ce concept n'est pas encore encré dans notre mentalité ou dans notre culture. Les entreprises marocaines n'ont pas encore le reflex de sensibiliser les consommateurs par le biais de l'écologie. Peut être que le marocain n'est pas encore prêt pour absorber cette nouvelle stratégie des entreprises ?
De nombreuses entreprises (industrielles ou de grandes consommations) ont actuellement comme objectif marketing, le développement durable.
Tout entreprise peut s'intégrer dans ce concept. Toutefois, des normes sont Indispensables : Il faut d'abord que l'entreprise en question procède à des changements dans tous les services : définir l'éthique qui va être suivie, établir une charte, veille technologique et concurrentielle accrue, former le personnel à cette nouvelle voie afin de ne pas risquer un rejet du projet.
En Europe, il existe un « Système de management environnemental et d'audit de l'Union Européenne » (EMAS), qui a comme principale fonction, l'audit des entreprises volontaires sur leur management environnemental, sachant que les résultats de cette étude seront mise à disposition du public.
En effet, les entreprises et les consommateurs sont bien sensibilisés et prêts à s'investir sur un tel marché, mais néanmoins, ils restent assez sceptiques face à toutes les promesses que donnent les entreprises pour protéger l'environnement.
Cette nouvelle mode de parler d'écologie, touche tous les secteurs d'activité : de la politique avec l'extraordinaire popularité de la campagne de Nicolas Hulot pour mettre le sujet au top des priorités pour les élections présidentielles, au secteur de l'automobile démontré dans les différentes campagnes lancées ses dernières années.
Au Maroc, la notion d'écologie dans les stratégies marketing et communication est en cours de développement, elle commence à peine à prendre son envol dans le monde de la publicité marocaine.
On peut prendre comme exemple le cas de Procter et Gamble qui est une entreprise qui cherche à intégrer le développement durable à tous les niveaux. Exemple avec la lessive Ariel actif à froid pour laquelle Procter et Gamble a mis au coeur de la publicité des arguments sur les économies d'argent et d'énergie (lave blanc même à froid). Cela se présente comme un nouveau geste pour l'environnement. C'est de la pédagogie auprès des consommateurs.
Effectivement, c'est donc un nouveau concept qui prend beaucoup d'ampleur au Maroc.
Des groupements d'associations de protection de l'environnement se sont réunit le 1 Mai 2008 dans le Maroc du Nord autour de Écolo Plateforme Maroc du Nord, pour revoir les conventions et protocoles concernant les graves atteintes portées à l'égard de nos patrimoines écologiques et paysagers au nom du développement économique et de la promotion touristique mais au détriment du développement durable.
Grâce à son ouverture vers l'Europe et à la mondialisation, le mode de vie du consommateur marocain a complètement changé dans ses dimensions économiques et culturelles. Cette forte mutation concerne en effet toutes les catégories socioprofessionnelles.
Ce changement de comportement du consommateur, expliqué par la colonisation, la proximité de l'Europe, etc., peut être constatable d'une ville à l'autre à l'intérieur du même Maroc : le comportement des consommateurs de Casablanca, qui est une grande agglomération, une ville industrielle, n'est pas le même que celui des consommateurs de la ville de Fès, Marrakech ou autre, car chaque ville a son histoire….
Cette ouverture d'esprit des marocains peut donc comprendre et respecter ce concept d'environnement et de développement durable.
Les constructeurs automobiles peuvent donc parler de protection de l'environnement avec les nouvelles technologies disponible actuellement ; la grande consommation peut aborder le sujet de l'emballage bio dans ses campagnes de communication.
C'est ainsi que l'on peut inculquer cette façon de voir et cette façon de vivre aux consommateurs marocains qui pourront participer ou croire participer à la protection de l'environnement.
Néanmoins, les entreprises qui voudront adopter ce concept ne doivent pas faire de la « publicité mensongère » juste pour le fait de dire qu'elle fait de la « pub écolo » ! C'est pour cela qu'un contrôle très rigoureux doit être mis en place pour un suivi de très près.
Il est à préciser que la protection de l'environnement ne pourra se faire au Maroc grâce à la publicité écologie seulement ! Il est important de préciser que le comportement du marocain est la source du problème, et que l'éducation dans ce sens est nécessaire dès le plus jeune âge afin d'adopter une conduite saine.
La sensibilisation est donc un terme récurrent qu'on évoque souvent car au final, c'est le moyen le plus sûr pour faire bouger les choses….
Salma EL BOURY
Master Marketing et Communication
ESC TOULOUSE
CEFOR-CASABLANCA
À propos de l'auteur :
Salma EL BOURY, étudiante en Master ESC Toulouse en Marketing et Communication délocalisé au CEFOR Entreprise à Casablanca Maroc. Chef de Publicité dans une grande agence conseil en communication publicitaire à Casablanca (Maroc).
lundi 21 mars 2011
Energies renouvelables : Votre maison à énergie positive
En optant pour les énergies renouvelables, vous pouvez produire plus d’énergie que vous n’en consommez. Et vous pouvez faire cela, tout en maîtrisant au quotidien votre consommation d’énergie. Il faut donc capter les énergies 100% naturelles, stables et inépuisables qui sont disponibles tout autour de nous. Des énergies gratuites et qui n’émettent aucun gaz à effet de serre.
Parmi les énergies renouvelables, la plus facilement valorisable aujourd’hui, pour les particuliers est l’énergie solaire. Les technologies solaires thermiques et photovoltaïques ne cessent de progresser. C’est vrai que les installations ont encore un coût important. Mais les prêts à 0% sont là pour vous aider.
En revanche, les coûts d’entretien sont réduits du fait de la robustesse des matériaux utilisés et de la gratuité de l’énergie employée. Vous pouvez faire baisser votre facture d’énergie de 40 à 75 %, selon l’installation que vous pourrez réaliser, tout en protégeant votre environnement. Avec une installation solaire thermique, vous pourrez vous assurer votre production d’eau chaude et plus encore, éventuellement une partie de votre chauffage. Donc sur le long terme, nous avons tout intérêt à nous tourner vers ces énergies renouvelables.
Il existe d’autres formes d’énergies renouvelables. On entend de plus en plus parler de l’équipement solaire photovoltaïque. Ses principaux avantages sont son installation de taille réduite, modulable et évolutive, avec une durée de vie de près de 25 ans. Avec cette solution, vous pourrez devenir autonome en électricité. Si votre installation est raccordée au réseau, vous pourrez même vendre votre surplus d’électricité à EDF.
Il y’a d’autres sources d’énergies renouvelables intéressantes, que l’on peut aussi capter pour la consommation électrique et le chauffage d’une maison. Il y’a d’abord l’énergie thermique. Grâce à une pompe à chaleur qui transforme l’environnement extérieur, (sol, air, eau), en énergie pour votre logement.
Ensuite, il est intéressant de considérer l’énergie éolienne, qui produit aussi de l’électricité. Il existe des modules domestiques de petites tailles. Pour une installation et une intégration parfaites, ces deux possibilités sont intéressantes et optimums. Dans le cadre d’une construction de maison neuve, ou de rénovation d’ancien, faire appel à ces énergies renouvelables est très astucieux.
Parmi les énergies renouvelables, la plus facilement valorisable aujourd’hui, pour les particuliers est l’énergie solaire. Les technologies solaires thermiques et photovoltaïques ne cessent de progresser. C’est vrai que les installations ont encore un coût important. Mais les prêts à 0% sont là pour vous aider.
En revanche, les coûts d’entretien sont réduits du fait de la robustesse des matériaux utilisés et de la gratuité de l’énergie employée. Vous pouvez faire baisser votre facture d’énergie de 40 à 75 %, selon l’installation que vous pourrez réaliser, tout en protégeant votre environnement. Avec une installation solaire thermique, vous pourrez vous assurer votre production d’eau chaude et plus encore, éventuellement une partie de votre chauffage. Donc sur le long terme, nous avons tout intérêt à nous tourner vers ces énergies renouvelables.
Il existe d’autres formes d’énergies renouvelables. On entend de plus en plus parler de l’équipement solaire photovoltaïque. Ses principaux avantages sont son installation de taille réduite, modulable et évolutive, avec une durée de vie de près de 25 ans. Avec cette solution, vous pourrez devenir autonome en électricité. Si votre installation est raccordée au réseau, vous pourrez même vendre votre surplus d’électricité à EDF.
Il y’a d’autres sources d’énergies renouvelables intéressantes, que l’on peut aussi capter pour la consommation électrique et le chauffage d’une maison. Il y’a d’abord l’énergie thermique. Grâce à une pompe à chaleur qui transforme l’environnement extérieur, (sol, air, eau), en énergie pour votre logement.
Ensuite, il est intéressant de considérer l’énergie éolienne, qui produit aussi de l’électricité. Il existe des modules domestiques de petites tailles. Pour une installation et une intégration parfaites, ces deux possibilités sont intéressantes et optimums. Dans le cadre d’une construction de maison neuve, ou de rénovation d’ancien, faire appel à ces énergies renouvelables est très astucieux.
dimanche 20 mars 2011
L'énergie solaire: un pas vers l'avenir
Tout le monde en parle, le solaire, c'est l'avenir, mais comment ça marche exactement ? Est-ce aussi rentable qu'on veut bien le dire ? Comment bien choisir son équipement photovoltaïque ? Toutes ces questions sont bien légitimes car, même s'il est vrai que l'on peut bénéficier d'un crédit d'impôt en faisant installer des panneaux solaires, l'investissement reste tout de même relativement important pour la plupart des familles.
Tout d'abord, les panneaux photovoltaïques, c'est quoi ? Le principe est simple, convertir l'énergie solaire en courant électrique. En effet, en atteignant les panneaux, qui sont constitués de matériaux particulièrement réceptifs, les photons (particules de lumière) exercent une action sur les atomes composant ces matériaux, ayant pour effet de les mettre en mouvement, produisant ainsi de l'électricité. Une fois cette énergie transformée en électricité, elle peut, comme c'est le plus souvent le cas, être réinjectée intégralement dans le réseau électrique EDF, qui se doit par ailleurs de racheter cette électricité à des prix très avantageux pour le particulier, soit en partie, afin que le particulier puisse profiter de sa propre production et revendre ainsi l'électricité dont il n'a pas besoin. Pour les habitations très isolées, il est bien entendu également possible de ne produire de l'électricité qu'afin de l'utiliser pour son usage personnel.
Le coût de l'installation est donc amorti en quelques années, et un crédit d'impôt est appliqué si le particulier achète et fait poser son équipement par un professionnel agréé. Bien sûr, comme dans tous les secteurs, mieux vaut se renseigner et s'assurer que les tarifs sont ceux couramment appliqués sur le marché. Là encore, il est plus sûr de s'adresser à une entreprise agréée.
Au-delà de l'aspect économique (sur le long terme), il est bien évidemment impossible d'ignorer l'aspect environnemental. En effet, le photovoltaïque est sans doute le système le plus écologique à ce jour pour ce qui est de la production d'électricité, et le seul qui soit accessible à tout un chacun également. En effet, le soleil fait partie de ce qu'on appelle les énergies renouvelables. Mais en réalité, le soleil est bien plus que cela. Oui, on peut renouveler une forêt après y avoir coupé des arbres, mais le soleil n'a besoin d'aucune intervention de l'homme pour continuer à fonctionner, et le fait d'utiliser son énergie n'a absolument aucune incidence sur son fonctionnement, ni sur notre écosystème. L'énergie solaire présente donc le double avantage de ne pas épuiser nos ressources naturelles, et de ne pas produire d'effets secondaires désastreux pour la planète !
En fin de compte, le solaire constitue sans doute la plus grande avancée vers l'avenir de ce siècle, mais il s'avère être également la première, la plus ancienne source d'énergie de notre histoire. C'est le soleil qui, depuis la naissance de notre planète, insuffle la vie à tous les organismes qui la peuplent, et c'est lui qui, après que nous nous en soyons détournés en essayant de produire de l'énergie par tous les moyens, nous offre encore et toujours sa puissance et une solution durable et propre pour produire de l'énergie maintenant, et sans doute pendant encore de nombreux siècles.
À propos de l'auteur :
Avec Eco Sun Energy, profitez de l'expertise de professionnels agréés pour l'achat et l'installation de votre système photovoltaïque. Un équipement fiable et durable pour une électricité à prix réduit.
Tout d'abord, les panneaux photovoltaïques, c'est quoi ? Le principe est simple, convertir l'énergie solaire en courant électrique. En effet, en atteignant les panneaux, qui sont constitués de matériaux particulièrement réceptifs, les photons (particules de lumière) exercent une action sur les atomes composant ces matériaux, ayant pour effet de les mettre en mouvement, produisant ainsi de l'électricité. Une fois cette énergie transformée en électricité, elle peut, comme c'est le plus souvent le cas, être réinjectée intégralement dans le réseau électrique EDF, qui se doit par ailleurs de racheter cette électricité à des prix très avantageux pour le particulier, soit en partie, afin que le particulier puisse profiter de sa propre production et revendre ainsi l'électricité dont il n'a pas besoin. Pour les habitations très isolées, il est bien entendu également possible de ne produire de l'électricité qu'afin de l'utiliser pour son usage personnel.
Le coût de l'installation est donc amorti en quelques années, et un crédit d'impôt est appliqué si le particulier achète et fait poser son équipement par un professionnel agréé. Bien sûr, comme dans tous les secteurs, mieux vaut se renseigner et s'assurer que les tarifs sont ceux couramment appliqués sur le marché. Là encore, il est plus sûr de s'adresser à une entreprise agréée.
Au-delà de l'aspect économique (sur le long terme), il est bien évidemment impossible d'ignorer l'aspect environnemental. En effet, le photovoltaïque est sans doute le système le plus écologique à ce jour pour ce qui est de la production d'électricité, et le seul qui soit accessible à tout un chacun également. En effet, le soleil fait partie de ce qu'on appelle les énergies renouvelables. Mais en réalité, le soleil est bien plus que cela. Oui, on peut renouveler une forêt après y avoir coupé des arbres, mais le soleil n'a besoin d'aucune intervention de l'homme pour continuer à fonctionner, et le fait d'utiliser son énergie n'a absolument aucune incidence sur son fonctionnement, ni sur notre écosystème. L'énergie solaire présente donc le double avantage de ne pas épuiser nos ressources naturelles, et de ne pas produire d'effets secondaires désastreux pour la planète !
En fin de compte, le solaire constitue sans doute la plus grande avancée vers l'avenir de ce siècle, mais il s'avère être également la première, la plus ancienne source d'énergie de notre histoire. C'est le soleil qui, depuis la naissance de notre planète, insuffle la vie à tous les organismes qui la peuplent, et c'est lui qui, après que nous nous en soyons détournés en essayant de produire de l'énergie par tous les moyens, nous offre encore et toujours sa puissance et une solution durable et propre pour produire de l'énergie maintenant, et sans doute pendant encore de nombreux siècles.
À propos de l'auteur :
Avec Eco Sun Energy, profitez de l'expertise de professionnels agréés pour l'achat et l'installation de votre système photovoltaïque. Un équipement fiable et durable pour une électricité à prix réduit.
samedi 19 mars 2011
L’eau : L’eau douce, notre bien le plus précieux
Il est urgent d’économiser l’eau douce. Actuellement, 23 pays se partagent 2/3 de la ressource en eau douce. De ce fait, 1,3 Milliard de personnes n’ont pas accès à l’eau potable !
En France, nous consommons environ 150 litres d’eau par jour et par habitant, principalement pour l’hygiène. 50.000 litres par an et par habitant. Moins de 50% des eaux usées domestiques seront assainies avant leur retour à la nature.
«La qualité de l'eau douce se dégrade de façon alarmante (rapport IFEN et rapport Lefeuvre 2000 et 2005, rapport du Sénat et notamment les rapports Keller). Il est donc urgent de mieux gérer notre consommation d’eau, mais également de ne pas la polluer par tous nos déchets ménagers.
Les principaux facteurs de pollution de l’eau douce sont : l'agriculture, l'industrie, les réseaux de collecte des eaux usées défaillants. Ou bien le manque de performance des stations d’épuration... La contamination des nappes et des rivières par les nitrates ne cesse de progresser et près d'un tiers du territoire, «le Grand Ouest», est concerné.
L’infection par les pesticides se généralise elle aussi. En outre, notre consommation augmente de façon déraisonnable : si nous ne changeons pas notre comportement, l'eau de qualité viendra bientôt à manquer. » Agissons pour ne pas polluer nous-mêmes l’eau par nos déchets ménagers et adoptons des gestes et des habitudes positives pour économiser l’eau douce.
En France, nous consommons environ 150 litres d’eau par jour et par habitant, principalement pour l’hygiène. 50.000 litres par an et par habitant. Moins de 50% des eaux usées domestiques seront assainies avant leur retour à la nature.
«La qualité de l'eau douce se dégrade de façon alarmante (rapport IFEN et rapport Lefeuvre 2000 et 2005, rapport du Sénat et notamment les rapports Keller). Il est donc urgent de mieux gérer notre consommation d’eau, mais également de ne pas la polluer par tous nos déchets ménagers.
Les principaux facteurs de pollution de l’eau douce sont : l'agriculture, l'industrie, les réseaux de collecte des eaux usées défaillants. Ou bien le manque de performance des stations d’épuration... La contamination des nappes et des rivières par les nitrates ne cesse de progresser et près d'un tiers du territoire, «le Grand Ouest», est concerné.
L’infection par les pesticides se généralise elle aussi. En outre, notre consommation augmente de façon déraisonnable : si nous ne changeons pas notre comportement, l'eau de qualité viendra bientôt à manquer. » Agissons pour ne pas polluer nous-mêmes l’eau par nos déchets ménagers et adoptons des gestes et des habitudes positives pour économiser l’eau douce.
vendredi 18 mars 2011
Comment un televiseur led respecte notre environnement ?
Avec le réchauffement climatique qui de plus en plus devient une préoccupation majeure pour l'environnement et beaucoup de gens cherchent des alternatives respectueuses de l'environnement. Le téléviseur led est perçue comme un moyen de réaliser cela c’est à dire une terre plus verte. Les technologies respectueuses de l'environnement pour un televiseur led qui utilise des leds pour le rétro éclairage de l'écran. Un televiseur led permet avec plus d’efficacité, d'avoir une faible consommation électrique, d’avoir une plus longue durée de vie, ce qui les rend plus respectueux de l'environnement.
Avec un contexte économique difficile et la récession qui laisse des traces dans le budget, les gens cherchent des façons d'économiser sur leurs factures d'électricité. Le televiseur led de Sharp LC52LE700X est livré avec des technologies respectueuses de l'environnement. Ce modèle facilite notamment les économies d'énergie par rapport à la plupart des autres modèles. La consommation d'énergie sur ce modèle se trouve à environ 173 watts. Le televiseur led émet également des quantités moindres de la chaleur et peut accroître la durée de vie du rétro-éclairage à environ 100.000 heures.
ViewSonic a récemment lancé la nouvelle marque le VT2300LED. Ce téléviseur led sans mercure, permet des économies d'énergie entre 30-50% par rapport aux écrans LCD et avec en plus une haute qualité d'image qui facilite les couleurs naturelles, de cet environnement favorable TV LED TV offre la technologie dans de nombreux aspects. Ces gammes de téléviseurs led sont de tailles idéales pour un montage facile sur les murs, ont des couleurs vivantes et offrent d'excellents détails d’image. Cette définition élevée du televiseur led offre un très bon visuel tout en étant doux sur l'environnement. Le temps de réponse 5 ms sont, la résolution de 1080p et l'écran facilitent les couleurs exceptionnelles.
Philips est l'une des entreprises à intégrer les capteurs de lumière ambiante dans ses derniers téléviseurs led. Le televiseur led Philips TV Eco 7000 est ultra mince et utilise des formes avancées de la technologie led pour assurer des économies d'énergie maximum. La présence d'un mécanisme de détection d'éclairage ambiant réduit la consommation d'énergie sans compromettre les performances. Les empreintes de carbone sont réduites au minimum en utilisant moins de matériaux en cours de fabrication. Les différents composants sont dépourvus de mercure ou de plomb, ce qui les rend sûrs et respectueux de l'environnement.
Samsung a récemment distribué des nouvelles séries de téléviseurs respectueux de l’environnement avec une technologie led de pointe. Ces écrans sont commercialisés en respectant notre environnement, tout en offrant une vision confortable. Avec une résolution de 1080p, un temps de réponse de 2 ms seulement, un ratio d'aspect de 16:9 et, ces séries offrent certainement tous les avantages associés à la dernière technologie led. Cependant, d’autre part, la consommation d'énergie est 40% moindre par rapport à d'autres classiques écrans de televiseur led. En incorporant un «angle magique», dont la qualité images est nettement meilleure quelque soit l’angle de vision, la le téléspectateur est automatiquement plus à l'aise.
Une des meilleures choses à propos de l'environnement des technologies respectueuses de televiseur led, c'est qu'il est une alternative écologique, sans compromis sur les fonctions. En fait, une telle technologie ne fait que renforcer visualisation de l’image tout en réduisant les coûts d'utilisation, les factures d'électricité ainsi que la consommation d'énergie.
En utilisant des composants respectueux de l'environnement, les émissions de carbone sont également réduites en conséquence.
Avec un contexte économique difficile et la récession qui laisse des traces dans le budget, les gens cherchent des façons d'économiser sur leurs factures d'électricité. Le televiseur led de Sharp LC52LE700X est livré avec des technologies respectueuses de l'environnement. Ce modèle facilite notamment les économies d'énergie par rapport à la plupart des autres modèles. La consommation d'énergie sur ce modèle se trouve à environ 173 watts. Le televiseur led émet également des quantités moindres de la chaleur et peut accroître la durée de vie du rétro-éclairage à environ 100.000 heures.
ViewSonic a récemment lancé la nouvelle marque le VT2300LED. Ce téléviseur led sans mercure, permet des économies d'énergie entre 30-50% par rapport aux écrans LCD et avec en plus une haute qualité d'image qui facilite les couleurs naturelles, de cet environnement favorable TV LED TV offre la technologie dans de nombreux aspects. Ces gammes de téléviseurs led sont de tailles idéales pour un montage facile sur les murs, ont des couleurs vivantes et offrent d'excellents détails d’image. Cette définition élevée du televiseur led offre un très bon visuel tout en étant doux sur l'environnement. Le temps de réponse 5 ms sont, la résolution de 1080p et l'écran facilitent les couleurs exceptionnelles.
Philips est l'une des entreprises à intégrer les capteurs de lumière ambiante dans ses derniers téléviseurs led. Le televiseur led Philips TV Eco 7000 est ultra mince et utilise des formes avancées de la technologie led pour assurer des économies d'énergie maximum. La présence d'un mécanisme de détection d'éclairage ambiant réduit la consommation d'énergie sans compromettre les performances. Les empreintes de carbone sont réduites au minimum en utilisant moins de matériaux en cours de fabrication. Les différents composants sont dépourvus de mercure ou de plomb, ce qui les rend sûrs et respectueux de l'environnement.
Samsung a récemment distribué des nouvelles séries de téléviseurs respectueux de l’environnement avec une technologie led de pointe. Ces écrans sont commercialisés en respectant notre environnement, tout en offrant une vision confortable. Avec une résolution de 1080p, un temps de réponse de 2 ms seulement, un ratio d'aspect de 16:9 et, ces séries offrent certainement tous les avantages associés à la dernière technologie led. Cependant, d’autre part, la consommation d'énergie est 40% moindre par rapport à d'autres classiques écrans de televiseur led. En incorporant un «angle magique», dont la qualité images est nettement meilleure quelque soit l’angle de vision, la le téléspectateur est automatiquement plus à l'aise.
Une des meilleures choses à propos de l'environnement des technologies respectueuses de televiseur led, c'est qu'il est une alternative écologique, sans compromis sur les fonctions. En fait, une telle technologie ne fait que renforcer visualisation de l’image tout en réduisant les coûts d'utilisation, les factures d'électricité ainsi que la consommation d'énergie.
En utilisant des composants respectueux de l'environnement, les émissions de carbone sont également réduites en conséquence.
jeudi 17 mars 2011
Le plastique : Comment s’en libérer?
Le plastique est une matière que l’on utilise depuis longtemps. Il sert aussi bien à fabriquer des tapis que des hublots d’avion. Ainsi, en un siècle et demi, les matières en plastique sont devenues un matériau universel. De ce fait, le processus pour se libérer du plastique n’est pas simple. Mais, comment peut-on s’en débarrasser? Voici certaines solutions de rechange :
Incinération
Fabriqué à partir de pétrole ou de gaz naturel, le plastique contient davantage d’énergie que d’autres déchets. Mais son incinération peut émettre des substances nocives.
Recyclage
C’est la meilleure solution pour éliminer le plastique. Mais le tri demande beaucoup de main-d’œuvre. Résultat : les Etats-Unis ne recyclent que 5% de leur plastique.
Dégradation programmée
Le plastique biodégradable, qui se décompose lorsqu’il est exposé à la lumière ou à l’air, est encore coûteux à fabriquer. Enterré dans une décharge, il peut persister pendant plusieurs décennies.
Substitution
Le papier contre le plastique ? Séduisant sous l’angle de la pollution, le passage du plastique au papier pose d’autres problèmes environnementaux. Une étude canadienne a ainsi montré une chose incroyable concernant la fabrication de gobelets en papier. Ces derniers consomment 36 fois plus d’électricité et 2 fois plus d’eau de refroidissement que celle des gobelets en polystyrène.
En conclusion, quelque soit les processus mis en place, le plus simple et le plus efficace est de réduire notre consommation. Egalement, utiliser dans la durée les produits manufacturés non jetables. Car le déchet le moins nuisible est celui qui n’est pas produit, ce qui n’est pas le cas pour le plastique
Incinération
Fabriqué à partir de pétrole ou de gaz naturel, le plastique contient davantage d’énergie que d’autres déchets. Mais son incinération peut émettre des substances nocives.
Recyclage
C’est la meilleure solution pour éliminer le plastique. Mais le tri demande beaucoup de main-d’œuvre. Résultat : les Etats-Unis ne recyclent que 5% de leur plastique.
Dégradation programmée
Le plastique biodégradable, qui se décompose lorsqu’il est exposé à la lumière ou à l’air, est encore coûteux à fabriquer. Enterré dans une décharge, il peut persister pendant plusieurs décennies.
Substitution
Le papier contre le plastique ? Séduisant sous l’angle de la pollution, le passage du plastique au papier pose d’autres problèmes environnementaux. Une étude canadienne a ainsi montré une chose incroyable concernant la fabrication de gobelets en papier. Ces derniers consomment 36 fois plus d’électricité et 2 fois plus d’eau de refroidissement que celle des gobelets en polystyrène.
En conclusion, quelque soit les processus mis en place, le plus simple et le plus efficace est de réduire notre consommation. Egalement, utiliser dans la durée les produits manufacturés non jetables. Car le déchet le moins nuisible est celui qui n’est pas produit, ce qui n’est pas le cas pour le plastique
mercredi 16 mars 2011
Economiser et préserver les ressources de notre planète en changeant notre façon de consommer
Voici quelques exemples qui démontrent l’urgence de changer notre façon de consommer pour économiser et préserver les ressources de notre planète. En 2004, il a été collecté 22 Millions de tonnes de déchets ménagers produits par les 62 Millions de Français. Soit environ 350Kg par an et par habitant (Source ADENE).
Voici d’autres indications précieuses pour économiser et préserver les ressources terrestres. L’automobile consomme 4 fois plus d’énergie par personne que les transports en commun. Par ailleurs, un français jette en moyenne 16Kg de déchets d’équipement par an. Soit 1,7 Millions de tonnes. Ce poids augmente chaque année de 3 à 5%.
Pour économiser et préserver les ressources de la planète, on peut aussi agir sur la diminution de la consommation de papier. Car, au bureau, la consommation annuelle de papier est de 50Kgs par personne. D’ici une dizaine d’années, la consommation mondiale de papier pourrait croître de 40%. Or 42% du bois exploité commercialement sert déjà à fabriquer du papier.
On peut constater deux faits qui n’aident pas à économiser et préserver les ressources. Premier fait : sur les 2 milliards de cartouches d’encre pour imprimante vendues chaque année, seules 10% sont recyclées. Deuxième fait : A propos des gobelets en plastique, des machines à café et fontaines à eau. Dans une société de 200 personnes, la consommation globale pour l’année sera de 100.000 gobelets !
Sachant que chaque jour une personne pourra consommer 1 gobelet d’eau, 1 gobelet de café par exemple. 1 seul de ces verres en plastique mettra de 100 à 1000 ans pour se dégrader dans la nature !! De votre côté quels sont les actes que vous allez poser pour réduire vos déchets et ainsi économiser et préserver les ressources de la planète?
Voici d’autres indications précieuses pour économiser et préserver les ressources terrestres. L’automobile consomme 4 fois plus d’énergie par personne que les transports en commun. Par ailleurs, un français jette en moyenne 16Kg de déchets d’équipement par an. Soit 1,7 Millions de tonnes. Ce poids augmente chaque année de 3 à 5%.
Pour économiser et préserver les ressources de la planète, on peut aussi agir sur la diminution de la consommation de papier. Car, au bureau, la consommation annuelle de papier est de 50Kgs par personne. D’ici une dizaine d’années, la consommation mondiale de papier pourrait croître de 40%. Or 42% du bois exploité commercialement sert déjà à fabriquer du papier.
On peut constater deux faits qui n’aident pas à économiser et préserver les ressources. Premier fait : sur les 2 milliards de cartouches d’encre pour imprimante vendues chaque année, seules 10% sont recyclées. Deuxième fait : A propos des gobelets en plastique, des machines à café et fontaines à eau. Dans une société de 200 personnes, la consommation globale pour l’année sera de 100.000 gobelets !
Sachant que chaque jour une personne pourra consommer 1 gobelet d’eau, 1 gobelet de café par exemple. 1 seul de ces verres en plastique mettra de 100 à 1000 ans pour se dégrader dans la nature !! De votre côté quels sont les actes que vous allez poser pour réduire vos déchets et ainsi économiser et préserver les ressources de la planète?
mardi 15 mars 2011
Comment capter la chaleur du soleil ?
Chacun en a fait l'expérience en été : un simple tuyau d'arrosage laissé au soleil va fournir quelques litres d'eau chaude lorsqu'on le videra. Comment peut on améliorer ce système ?
Peindre le tuyau en noir est une première amélioration. En effet, un objet noir ne réfléchit pratiquement aucune lumière, et absorbe donc la plupart de l'énergie pour la transformer en chaleur.
Cependant, cette chaleur accumulée va néanmoins rayonner dans l'infrarouge vers l'extérieur du tuyau. Le rôle du vitrage permet de retenir cette énergie.
Un simple vitrage ordinaire suffit à stopper le rayonnement infrarouge et permet de conserver ce rayonnement thermique dans l'enceinte du capteur, tout en laissant entrer la lumière visible du soleil.
Sur l'arrière du capteur qui n'a pas besoin d'être transparent, une isolation (avec des isolants conventionnels) permet de conserver la chaleur.
Une fois que le rayonnement solaire a été transformé en chaleur, il faut amener cette énergie-là où elle doit être stockée. C'est le rôle du fluide caloporteur qui circule dans le panneau. Froid à l'entrée du circuit, il se réchauffe progressivement dans le panneau, et à la sortie du capteur, il permet d'évacuer la chaleur vers là où elle doit être consommée (exemple : le chauffe-eau solaire, piscine solaire).
La première application du solaire thermique reste son utilisation pour obtenir de l'eau chaude sanitaire. Facile à mettre en oeuvre avec un investissement et des travaux modérés, le chauffe-eau solaire permet à de nombreux logements de notre planète de réduire considérablement leurs besoins de chauffage et de couvrir près de 70% l'utilisation en eau chaude. Pour les maisons passives, il est même possible de subvenir à 100% de ses besoins !
Pour plus d'informations, cliquez sur le lien ci-dessous :
http://pack.energie.solaire.free.fr/
À propos de l'auteur :
Philippe Garcia explique comment installer l'énergie solaire à votre domicile, comment faire des économies et comment se faire payer avec une installation solaire.
http://pack.energie.solaire.free.fr/
http://solaire.rumus.fr/
http://solaire.neo-traffic.net/
Copyright © 2009 Pack.Energie.Solaire.Free.fr
Peindre le tuyau en noir est une première amélioration. En effet, un objet noir ne réfléchit pratiquement aucune lumière, et absorbe donc la plupart de l'énergie pour la transformer en chaleur.
Cependant, cette chaleur accumulée va néanmoins rayonner dans l'infrarouge vers l'extérieur du tuyau. Le rôle du vitrage permet de retenir cette énergie.
Un simple vitrage ordinaire suffit à stopper le rayonnement infrarouge et permet de conserver ce rayonnement thermique dans l'enceinte du capteur, tout en laissant entrer la lumière visible du soleil.
Sur l'arrière du capteur qui n'a pas besoin d'être transparent, une isolation (avec des isolants conventionnels) permet de conserver la chaleur.
Une fois que le rayonnement solaire a été transformé en chaleur, il faut amener cette énergie-là où elle doit être stockée. C'est le rôle du fluide caloporteur qui circule dans le panneau. Froid à l'entrée du circuit, il se réchauffe progressivement dans le panneau, et à la sortie du capteur, il permet d'évacuer la chaleur vers là où elle doit être consommée (exemple : le chauffe-eau solaire, piscine solaire).
La première application du solaire thermique reste son utilisation pour obtenir de l'eau chaude sanitaire. Facile à mettre en oeuvre avec un investissement et des travaux modérés, le chauffe-eau solaire permet à de nombreux logements de notre planète de réduire considérablement leurs besoins de chauffage et de couvrir près de 70% l'utilisation en eau chaude. Pour les maisons passives, il est même possible de subvenir à 100% de ses besoins !
Pour plus d'informations, cliquez sur le lien ci-dessous :
http://pack.energie.solaire.free.fr/
À propos de l'auteur :
Philippe Garcia explique comment installer l'énergie solaire à votre domicile, comment faire des économies et comment se faire payer avec une installation solaire.
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http://solaire.neo-traffic.net/
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lundi 14 mars 2011
L'énergie solaire, l'énergie renouvelable la plus prometteuse ?
Les panneaux solaires font de plus en plus leur apparition sur les toits des maisons et pas uniquement sur les nouvelles constructions. Il faut dire que le soleil est une énergie renouvelable gratuite et inépuisable.
Toutefois, la France est largement en retard par rapport à d'autres pays où le solaire est une source d'énergie commune. Elle est au quatrième rang européen, derrière l'Allemagne, l'Espagne et l'Italie.
Il existe deux sortes d'installations solaires : le solaire thermique et le solaire photovoltaïque.
Le solaire thermique permet de chauffer l'eau, via des capteurs, qui passe dans des tuyaux sous les panneaux et qui se propage dans vos ballons d'eau chaude et vos radiateurs. Des aides, sous formes de subventions régionales et de crédits d'impôt (45 % du coût total), vous sont proposées afin de vous aider à installer ces panneaux qui coûtent encore assez chers à l'heure actuelle. Pour les solaires thermiques, cela tourne autour de 5000 euros dans le Sud et 7000 euros dans le Nord. Hé oui, il existe une assez grande différence entre ces deux régions de France. Cela s'explique aisément. Comme le soleil est plus présent dans le Sud, il faut moins de panneaux pour chauffer l'eau qui passe dans les tuyaux. Ce n'est pas juste pour les nordistes mais c'est purement mathématique !
Les panneaux solaires thermiques peuvent être installés sur les toits mais aussi par terre. L'essentiel est qu'ils soient orientés, à 45 °, plein sud, là où le soleil tape le plus fort, pour avoir le maximum de rendement.
De plus en plus de Français installe ce type de panneaux. Mais attention, vous rentrerez dans vos frais au bout de quelques années uniquement si vous utilisez totalement l'eau chauffée par les panneaux. L'eau non utilisée est perdue définitivement, vous ne pouvez pas la stocker.
C'est différent pour le solaire photovoltaïque qui permette du stockage (grâce à des accumulateurs) ou de la revente (sous certaines conditions). Les panneaux solaires photovoltaïques transforment les rayons du soleil en électricité. Ces derniers paraissent plus rentables à long terme, d'où la volonté du Gouvernement français d'accentuer leur développement. Vœu qui commence d'ailleurs à prendre forme dès cette année. En effet, selon le Syndicat des Energies Renouvelables (SER) et le groupement français des professionnels du solaire photovoltaïque (SOLER), le solaire photovoltaïque connaît une forte croissance en France, en 2008 (169,2 MW contre 36 MW en 2007). Très en retard par rapport au solaire thermique, il tend à gagner du terrain même si la plupart de ces installations ne sont pas raccordées au réseau électrique (- de 25 %), ce qui empêche de se servir de l'électricité produite pour la collectivité.
Toutefois, cette évolution ne devrait que se confirmer dans l'avenir dans la mesure ou le Grenelle de l'Environnement impose de parvenir à un parc de 1 100 MW de solaire photovoltaïque en 2012, avant d'atteindre 5 400 MW en 2020.
D'ailleurs, le 17 novembre 2008, le Ministre de l'Ecologie Jean-Louis Borloo, a présenté à Paris le plan du Gouvernement sur les énergies renouvelables. Il prévoit la construction d'au moins une centrale photovoltaïque par région d'ici 2011. Selon le Ministre, « Le gros, c'est le solaire. En termes industriels, et d'effondrement des coûts industriels, c'est probablement là qu'on a la capacité la plus importante. » Des mesures d'incitations financières sont prises pour inviter les industries, les supermarchés, les agriculteurs à poser des panneaux photovoltaïques sur leurs toits : leur électricité sera vendu 45 centimes/kWh (Sources : AFP).
Les panneaux photovoltaïques coûtent encore cher. Le prix de l'installation tourne aux alentours de 15000 euros. Le prix est élevé à cause des accumulateurs ou batteries que vous devez installer pour stocker votre électricité. Vous bénéficiez d'aides régionales et de crédits d'impôt pour l'installation (50 % du prix total). La rentabilité s'effectue à très long terme, à condition que vous puissiez vendre à EDF votre surplus d'électricité. Cela constitue d'ailleurs le plus gros problème des panneaux photovoltaïques : le raccordement au réseau EDF induit des démarches importantes et longues. Toutefois, selon Jean-Louis Borloo, les démarches devraient être simplifiées dans un proche avenir.
Le système photovoltaïque semble être promis à un bel avenir à condition d'en diminuer le coût. Pour ce faire, il suffit de raccorder le système directement au réseau EDF, procédé plus économique que les accumulateurs. Le prix des panneaux photovoltaïques diminue aussi régulièrement. Ils sont maintenant de 3ème génération avec des cellules imprimées sur des supports.
Le photovoltaïque semble d'ailleurs se démocratiser de plus en plus. On trouve sur le marché pas mal de petits appareils comme les torches, les panneaux de signalisation, les bornes d'urgence sur l'autoroute, des valises solaires pour recharger vos mobiles, vos portables, vos gps, etc., qui utilisent ce procédé. Il existe même des bateaux de pêche fonctionnant à l'énergie solaire.
On semble donc s'orienter de plus en plus vers le solaire. C'est d'ailleurs un élément hyper positif et qui va dans le sens de ceux qui veulent protéger la nature et l'environnement. En effet, le solaire est une énergie propre, renouvelable et inépuisable. Que demander de plus ?
À propos de l'auteur :
Co-auteurs : BRUNET Isabelle (spécialiste en développement personnel) et GAWELIK Katy (Docteur en droit, spécialiste en bien-être et en épanouissement personnel)
N'hésitez pas à visiter le site Abond@nce Editions http://www.abondance-editions.com et à télécharger les ouvrages et les audios gratuits.
Toutefois, la France est largement en retard par rapport à d'autres pays où le solaire est une source d'énergie commune. Elle est au quatrième rang européen, derrière l'Allemagne, l'Espagne et l'Italie.
Il existe deux sortes d'installations solaires : le solaire thermique et le solaire photovoltaïque.
Le solaire thermique permet de chauffer l'eau, via des capteurs, qui passe dans des tuyaux sous les panneaux et qui se propage dans vos ballons d'eau chaude et vos radiateurs. Des aides, sous formes de subventions régionales et de crédits d'impôt (45 % du coût total), vous sont proposées afin de vous aider à installer ces panneaux qui coûtent encore assez chers à l'heure actuelle. Pour les solaires thermiques, cela tourne autour de 5000 euros dans le Sud et 7000 euros dans le Nord. Hé oui, il existe une assez grande différence entre ces deux régions de France. Cela s'explique aisément. Comme le soleil est plus présent dans le Sud, il faut moins de panneaux pour chauffer l'eau qui passe dans les tuyaux. Ce n'est pas juste pour les nordistes mais c'est purement mathématique !
Les panneaux solaires thermiques peuvent être installés sur les toits mais aussi par terre. L'essentiel est qu'ils soient orientés, à 45 °, plein sud, là où le soleil tape le plus fort, pour avoir le maximum de rendement.
De plus en plus de Français installe ce type de panneaux. Mais attention, vous rentrerez dans vos frais au bout de quelques années uniquement si vous utilisez totalement l'eau chauffée par les panneaux. L'eau non utilisée est perdue définitivement, vous ne pouvez pas la stocker.
C'est différent pour le solaire photovoltaïque qui permette du stockage (grâce à des accumulateurs) ou de la revente (sous certaines conditions). Les panneaux solaires photovoltaïques transforment les rayons du soleil en électricité. Ces derniers paraissent plus rentables à long terme, d'où la volonté du Gouvernement français d'accentuer leur développement. Vœu qui commence d'ailleurs à prendre forme dès cette année. En effet, selon le Syndicat des Energies Renouvelables (SER) et le groupement français des professionnels du solaire photovoltaïque (SOLER), le solaire photovoltaïque connaît une forte croissance en France, en 2008 (169,2 MW contre 36 MW en 2007). Très en retard par rapport au solaire thermique, il tend à gagner du terrain même si la plupart de ces installations ne sont pas raccordées au réseau électrique (- de 25 %), ce qui empêche de se servir de l'électricité produite pour la collectivité.
Toutefois, cette évolution ne devrait que se confirmer dans l'avenir dans la mesure ou le Grenelle de l'Environnement impose de parvenir à un parc de 1 100 MW de solaire photovoltaïque en 2012, avant d'atteindre 5 400 MW en 2020.
D'ailleurs, le 17 novembre 2008, le Ministre de l'Ecologie Jean-Louis Borloo, a présenté à Paris le plan du Gouvernement sur les énergies renouvelables. Il prévoit la construction d'au moins une centrale photovoltaïque par région d'ici 2011. Selon le Ministre, « Le gros, c'est le solaire. En termes industriels, et d'effondrement des coûts industriels, c'est probablement là qu'on a la capacité la plus importante. » Des mesures d'incitations financières sont prises pour inviter les industries, les supermarchés, les agriculteurs à poser des panneaux photovoltaïques sur leurs toits : leur électricité sera vendu 45 centimes/kWh (Sources : AFP).
Les panneaux photovoltaïques coûtent encore cher. Le prix de l'installation tourne aux alentours de 15000 euros. Le prix est élevé à cause des accumulateurs ou batteries que vous devez installer pour stocker votre électricité. Vous bénéficiez d'aides régionales et de crédits d'impôt pour l'installation (50 % du prix total). La rentabilité s'effectue à très long terme, à condition que vous puissiez vendre à EDF votre surplus d'électricité. Cela constitue d'ailleurs le plus gros problème des panneaux photovoltaïques : le raccordement au réseau EDF induit des démarches importantes et longues. Toutefois, selon Jean-Louis Borloo, les démarches devraient être simplifiées dans un proche avenir.
Le système photovoltaïque semble être promis à un bel avenir à condition d'en diminuer le coût. Pour ce faire, il suffit de raccorder le système directement au réseau EDF, procédé plus économique que les accumulateurs. Le prix des panneaux photovoltaïques diminue aussi régulièrement. Ils sont maintenant de 3ème génération avec des cellules imprimées sur des supports.
Le photovoltaïque semble d'ailleurs se démocratiser de plus en plus. On trouve sur le marché pas mal de petits appareils comme les torches, les panneaux de signalisation, les bornes d'urgence sur l'autoroute, des valises solaires pour recharger vos mobiles, vos portables, vos gps, etc., qui utilisent ce procédé. Il existe même des bateaux de pêche fonctionnant à l'énergie solaire.
On semble donc s'orienter de plus en plus vers le solaire. C'est d'ailleurs un élément hyper positif et qui va dans le sens de ceux qui veulent protéger la nature et l'environnement. En effet, le solaire est une énergie propre, renouvelable et inépuisable. Que demander de plus ?
À propos de l'auteur :
Co-auteurs : BRUNET Isabelle (spécialiste en développement personnel) et GAWELIK Katy (Docteur en droit, spécialiste en bien-être et en épanouissement personnel)
N'hésitez pas à visiter le site Abond@nce Editions http://www.abondance-editions.com et à télécharger les ouvrages et les audios gratuits.
dimanche 13 mars 2011
Cop16 à cancun
“si les gouvernements sont sérieux en ré-insufflant de l'énergie aux débats sur le climat international, alors ils doivent aussi être sérieux sur l'efficacité énergétique,” a dit Tony Robson, PDG de Knauf Insulation et Président de EASE, la toute récente « Alliance Européenne pour économiser l'énergie »ii.
Dans tous les secteurs d'activité, l'efficacité énergétique peut permettre d'immenses réductions d'émission de carbone, tout en faisant des économies de coût et en créant un nombre important d'emplois; uniquement en Europe, la réalisation d'un objectif de 20% d'efficacité énergétique à l'horizon 2020 permettrait de créer plus d'un million d'emplois. Et il n'y a pas de secteur plus vrai que celui du Bâtiment, où 40% de l'énergie globale est consommé et où le potentiel d'économies est considérable.
Selon Knauf Insulation, un panel de mesures existantes sur l'efficacité énergétique pourrait réduire de 80% les émissions dues au secteur du Bâtiment Bien que les politiciens et les législateurs parlent du besoin de se concentrer plus sur l'efficacité énergétique, les actions nécessaires pour concrétiser ces discours manquent souvent à l'appel.
Knauf Insulation presse les Ministres et les Chefs de Délégations, présents à Cancun, de s'engager avec les acteurs mondiaux de l'efficacité énergétique, pour apporter un développement bas carbone.
Pour le secteur du Bâtiment, cela signifie un engagement de réglementations proches du zéro énergie pour la construction neuve, et des feuilles de route pour la rénovation de tous les bâtiments, proche du niveau zéro énergie en 2050. Bien que cela soit un challenge qui demande des financements et une meilleure formation, cela va redynamiser l'économie, redémarrer la création d'emplois et protéger chacun des impacts de l'augmentation des coûts de l'énergie.
“Je veux voir tous les gouvernements présents à Cancun, de pays développés comme en voie de développement, reconnaître que le Bâtiment ne se « décarbonisera » pas tout seul. Une action forte est nécessaire pour mettre en avant les manquements du marché, et pour faire de l'efficacité
énergétique dans les Bâtiments une norme plutôt qu'une exception ; ceci inclut de rendre illégaux les bâtiments inefficaces d'un point de vue énergétique » a dit Tony Robson, lors de la Conférence sur le changement climatique des Nations Unies à Cancun.
“La récompense est tellement considérable, que j'ai toujours du mal à croire que des efforts supplémentaires ne soient pas faits” ajoute-t-il.
“La courbe des coûts globaux de réduction des gaz à effet de serre réalisée par McKinseyiiia montré le rôle incroyable que l'efficacité énergétique dans le Bâtiment, et en particulier l'isolation peut jouer dans la réduction à la fois des coûts et de émissions de carbone. Les chiffres pour l'Europe indiquent une économie annuelle sur les coûts de l'énergie de 270 milliards d'euros, et une réduction de 460 millions de tonnes de CO2 ; simplement en passant d'un bâtiment énergivore à un bâtiment basse consommation. Si nous nous activons à promouvoir des bâtiments à très basse consommation, les économies tomberont d'elles-mêmes.”, conclue Tony Robson.
Communiqué de presse Knauf Insulation
À propos de l'auteur :
thomas.peixoto@andresudrie.com
Dans tous les secteurs d'activité, l'efficacité énergétique peut permettre d'immenses réductions d'émission de carbone, tout en faisant des économies de coût et en créant un nombre important d'emplois; uniquement en Europe, la réalisation d'un objectif de 20% d'efficacité énergétique à l'horizon 2020 permettrait de créer plus d'un million d'emplois. Et il n'y a pas de secteur plus vrai que celui du Bâtiment, où 40% de l'énergie globale est consommé et où le potentiel d'économies est considérable.
Selon Knauf Insulation, un panel de mesures existantes sur l'efficacité énergétique pourrait réduire de 80% les émissions dues au secteur du Bâtiment Bien que les politiciens et les législateurs parlent du besoin de se concentrer plus sur l'efficacité énergétique, les actions nécessaires pour concrétiser ces discours manquent souvent à l'appel.
Knauf Insulation presse les Ministres et les Chefs de Délégations, présents à Cancun, de s'engager avec les acteurs mondiaux de l'efficacité énergétique, pour apporter un développement bas carbone.
Pour le secteur du Bâtiment, cela signifie un engagement de réglementations proches du zéro énergie pour la construction neuve, et des feuilles de route pour la rénovation de tous les bâtiments, proche du niveau zéro énergie en 2050. Bien que cela soit un challenge qui demande des financements et une meilleure formation, cela va redynamiser l'économie, redémarrer la création d'emplois et protéger chacun des impacts de l'augmentation des coûts de l'énergie.
“Je veux voir tous les gouvernements présents à Cancun, de pays développés comme en voie de développement, reconnaître que le Bâtiment ne se « décarbonisera » pas tout seul. Une action forte est nécessaire pour mettre en avant les manquements du marché, et pour faire de l'efficacité
énergétique dans les Bâtiments une norme plutôt qu'une exception ; ceci inclut de rendre illégaux les bâtiments inefficaces d'un point de vue énergétique » a dit Tony Robson, lors de la Conférence sur le changement climatique des Nations Unies à Cancun.
“La récompense est tellement considérable, que j'ai toujours du mal à croire que des efforts supplémentaires ne soient pas faits” ajoute-t-il.
“La courbe des coûts globaux de réduction des gaz à effet de serre réalisée par McKinseyiiia montré le rôle incroyable que l'efficacité énergétique dans le Bâtiment, et en particulier l'isolation peut jouer dans la réduction à la fois des coûts et de émissions de carbone. Les chiffres pour l'Europe indiquent une économie annuelle sur les coûts de l'énergie de 270 milliards d'euros, et une réduction de 460 millions de tonnes de CO2 ; simplement en passant d'un bâtiment énergivore à un bâtiment basse consommation. Si nous nous activons à promouvoir des bâtiments à très basse consommation, les économies tomberont d'elles-mêmes.”, conclue Tony Robson.
Communiqué de presse Knauf Insulation
À propos de l'auteur :
thomas.peixoto@andresudrie.com
samedi 12 mars 2011
Faite des vacances vertes avec planète Ecotourisme
Le guide du tourisme responsable
L'écotourisme est une tendance nouvelle dans le tourisme. Eloigné du tourisme du masse, Le tourisme durable tend a concilié la découverte et l'évasion que procure un voyage avec un secteur très polluant qu'est le tourisme. Planète Écotourisme est donc un guide pour découvrir, comprendre et pratiquer le voyage nature mais aussi informer sur les emplois dans l'écotourisme ou les stages proposés dans le tourisme responsable. Un guide complet clair et actuel sur le tourisme de demain.
Un maximum de conseils et d'idées sur l'écotourisme
Planète Ecotourisme est avant tout un concentré de conseils et de bons plans sur le tourisme durable. Retrouvez ainsi de nombreux articles pour vivre l'écotourisme de manière ludique et cohérente mais aussi de nombreux bons plans pour visiter et dormir dans des lieux respectueux de l'environnement et de la planète. Enfin, c'est une sélection de guide sur l'écologie, la randonnée et le tourisme responsable qui vous ai proposé afin de préparer ses vacances nature.
Une nouvelle manière de voir l'écologie et le voyage
Le tourisme écologique n'est pas que dans la restriction mais peu se voir comme une manière de re découvrir à vire et à voyager. Apprendre à ses ressourcer lors d'une randonnée nature, à échanger avec les populations locales le temps d'un voyage responsable ou solidaire, avoir les bons gestes pour préserver dame nature. Le guide de voyage Planète Ecotourisme tente de vous apporter toutes les informations nécessaires pour des vacances réussies.
Contact :
http://www.planete-ecotourisme.com
contact@planete-ecotourisme.com
À propos de l'auteur :
Vous voulez tester le tourisme responsable avec les hommes et la nature, Planète Écotourisme vous aide et vous conseille sur cette nouvelle forme de voyage. Bons plans conseils et actualité sur le thème de l'écotourisme sont sur Planète Écotourisme
L'écotourisme est une tendance nouvelle dans le tourisme. Eloigné du tourisme du masse, Le tourisme durable tend a concilié la découverte et l'évasion que procure un voyage avec un secteur très polluant qu'est le tourisme. Planète Écotourisme est donc un guide pour découvrir, comprendre et pratiquer le voyage nature mais aussi informer sur les emplois dans l'écotourisme ou les stages proposés dans le tourisme responsable. Un guide complet clair et actuel sur le tourisme de demain.
Un maximum de conseils et d'idées sur l'écotourisme
Planète Ecotourisme est avant tout un concentré de conseils et de bons plans sur le tourisme durable. Retrouvez ainsi de nombreux articles pour vivre l'écotourisme de manière ludique et cohérente mais aussi de nombreux bons plans pour visiter et dormir dans des lieux respectueux de l'environnement et de la planète. Enfin, c'est une sélection de guide sur l'écologie, la randonnée et le tourisme responsable qui vous ai proposé afin de préparer ses vacances nature.
Une nouvelle manière de voir l'écologie et le voyage
Le tourisme écologique n'est pas que dans la restriction mais peu se voir comme une manière de re découvrir à vire et à voyager. Apprendre à ses ressourcer lors d'une randonnée nature, à échanger avec les populations locales le temps d'un voyage responsable ou solidaire, avoir les bons gestes pour préserver dame nature. Le guide de voyage Planète Ecotourisme tente de vous apporter toutes les informations nécessaires pour des vacances réussies.
Contact :
http://www.planete-ecotourisme.com
contact@planete-ecotourisme.com
À propos de l'auteur :
Vous voulez tester le tourisme responsable avec les hommes et la nature, Planète Écotourisme vous aide et vous conseille sur cette nouvelle forme de voyage. Bons plans conseils et actualité sur le thème de l'écotourisme sont sur Planète Écotourisme
jeudi 10 mars 2011
Chauffage, considérations en matière environnementale
Conseils design efficaces du point de vue énergétique
Un design et une construction efficaces sur le plan de l'énergie vous aideront à économiser considérablement sur vos factures de chauffage et à faire un geste pour l'environnement. En plus, cela ne coûte pas plus cher qu'une construction classique. Identifions ci-dessous des éléments clés en matière de design:
• Maximiser la quantité d'ensoleillement hivernal disponible – installez des espaces de vie du côté sud de votre habitation avec des fenêtres orientées pour profiter le plus possible du soleil hivernal et tamiser les rayons brûlants de l'été.
• Créer des zones vous permettant de ne chauffer que des sections de votre habitation. Créer des zones en utilisant des portes ou des écrans.
• Positionner des pièces propices à l'utilisation d'eau chaude ensemble (cuisine, salle de bains, buanderie) pour réduire la perte de chaleur dans les tuyaux.
• Éviter des espaces larges, des pièces non cloisonnées et des hauts plafonds. La hauteur de plafond maximale devrait être de 2.7 mètres.
• Isolation de qualité – empêchant la chaleur d'entrer ou de sortir à travers le toit, les murs ou le sol.
Que puis-je faire dans ma maison actuelle?
Vous pouvez faire de très nombreuses choses dans votre maison actuelle pour vous assurer qu'elle est chauffée tout en économisant de l'énergie, entre autres:
• Gardez la chaleur à l'intérieur en plaçant de lourds stores ou des tentures aux fenêtres
• Ouvrez les tentures des fenêtres orientées vers le nord lorsque le soleil brille – cette chaleur naturelle est gratuite
• Protégez votre habitation des courants d'air – les courants d'air peuvent augmenter votre facture de chauffage jusqu'à 25 pour cent. Cela peut être aussi simple que de placer des boudins de porte et de penser à fermer portes et fenêtres.
• Utilisez un radiateur de taille appropriée – le fait d'utiliser un petit radiateur pour chauffer un espace important augmentera vos frais courants et vous n'aurez toujours pas obtenu la chaleur adéquate.
• Réduisez l'espace à chauffer – isolez les pièces non utilisées en installant des tentures ou des portes.
• Si vous avez froid, pourquoi ne pas enfiler un pull plutôt qu'augmenter le chauffage?
• Ne surchauffez pas votre habitation – la température moyenne d'une habitation en hiver devrait être comprise entre 18-21 degrés
• Ne laissez pas votre chauffage allumé lorsque vous êtes parti ou endormi – il est, en fait, moins cher et plus efficace de le couper pendant ces périodes et de l'allumer en votre présence.
• Utilisez des ventilateurs de plafond pour faire circuler la chaleur
Comment choisir des produits efficaces sur le plan de l'énergie?
Les conseils ci-dessus ne produisent aucun effet si vous n'utilisez pas de produits efficaces en matière d'énergie. Voici les éléments à garder à l'esprit:
Isolation: l'isolation empêche la chaleur de s'échapper à travers le plafond, les murs et les sols. Au moment d'acheter votre matériel, veillez à prendre le système d'isolation standard et adapté à votre climat qui devrait être disponible chez le détaillant. Le système d'isolation créé à partir de matériaux naturels, comme la laine et la fibre de cellulose sont plus efficaces sur le plan de la durabilité et de l'environnement.
Fenêtres: les fenêtres sont le pivot de l'ensemble de l'efficacité sur le plan de l'énergie d'une habitation. C'est un élément essentiel à prendre en considération car jusqu'à 40 pour cent de chaleur s'échappe par les fenêtres.
Source d'énergie: vous avez le choix entre l'électricité, le gaz, le bois, le charbon et l'énergie solaire pour chauffer votre habitation. Le gaz naturel est meilleur pour l'environnement que l'électricité mais certains quartiers n'y ont pas nécessairement accès. Contactez votre fournisseur d'électricité, étant donné que certains proposent des options écologiques qui utilisent les ressources éoliennes, solaires et renouvelables.
Système de chauffage: vous devez choisir le système de chauffage approprié à votre habitation. Vous devrez envisager la taille de l'espace que vous souhaitez chauffer, le type de combustible et de chauffage.
À propos de l'auteur :
Trouvez votre bien immobilier à Thionville ou votre immobilier à Mulhouse sur immoregion.fr.
Un design et une construction efficaces sur le plan de l'énergie vous aideront à économiser considérablement sur vos factures de chauffage et à faire un geste pour l'environnement. En plus, cela ne coûte pas plus cher qu'une construction classique. Identifions ci-dessous des éléments clés en matière de design:
• Maximiser la quantité d'ensoleillement hivernal disponible – installez des espaces de vie du côté sud de votre habitation avec des fenêtres orientées pour profiter le plus possible du soleil hivernal et tamiser les rayons brûlants de l'été.
• Créer des zones vous permettant de ne chauffer que des sections de votre habitation. Créer des zones en utilisant des portes ou des écrans.
• Positionner des pièces propices à l'utilisation d'eau chaude ensemble (cuisine, salle de bains, buanderie) pour réduire la perte de chaleur dans les tuyaux.
• Éviter des espaces larges, des pièces non cloisonnées et des hauts plafonds. La hauteur de plafond maximale devrait être de 2.7 mètres.
• Isolation de qualité – empêchant la chaleur d'entrer ou de sortir à travers le toit, les murs ou le sol.
Que puis-je faire dans ma maison actuelle?
Vous pouvez faire de très nombreuses choses dans votre maison actuelle pour vous assurer qu'elle est chauffée tout en économisant de l'énergie, entre autres:
• Gardez la chaleur à l'intérieur en plaçant de lourds stores ou des tentures aux fenêtres
• Ouvrez les tentures des fenêtres orientées vers le nord lorsque le soleil brille – cette chaleur naturelle est gratuite
• Protégez votre habitation des courants d'air – les courants d'air peuvent augmenter votre facture de chauffage jusqu'à 25 pour cent. Cela peut être aussi simple que de placer des boudins de porte et de penser à fermer portes et fenêtres.
• Utilisez un radiateur de taille appropriée – le fait d'utiliser un petit radiateur pour chauffer un espace important augmentera vos frais courants et vous n'aurez toujours pas obtenu la chaleur adéquate.
• Réduisez l'espace à chauffer – isolez les pièces non utilisées en installant des tentures ou des portes.
• Si vous avez froid, pourquoi ne pas enfiler un pull plutôt qu'augmenter le chauffage?
• Ne surchauffez pas votre habitation – la température moyenne d'une habitation en hiver devrait être comprise entre 18-21 degrés
• Ne laissez pas votre chauffage allumé lorsque vous êtes parti ou endormi – il est, en fait, moins cher et plus efficace de le couper pendant ces périodes et de l'allumer en votre présence.
• Utilisez des ventilateurs de plafond pour faire circuler la chaleur
Comment choisir des produits efficaces sur le plan de l'énergie?
Les conseils ci-dessus ne produisent aucun effet si vous n'utilisez pas de produits efficaces en matière d'énergie. Voici les éléments à garder à l'esprit:
Isolation: l'isolation empêche la chaleur de s'échapper à travers le plafond, les murs et les sols. Au moment d'acheter votre matériel, veillez à prendre le système d'isolation standard et adapté à votre climat qui devrait être disponible chez le détaillant. Le système d'isolation créé à partir de matériaux naturels, comme la laine et la fibre de cellulose sont plus efficaces sur le plan de la durabilité et de l'environnement.
Fenêtres: les fenêtres sont le pivot de l'ensemble de l'efficacité sur le plan de l'énergie d'une habitation. C'est un élément essentiel à prendre en considération car jusqu'à 40 pour cent de chaleur s'échappe par les fenêtres.
Source d'énergie: vous avez le choix entre l'électricité, le gaz, le bois, le charbon et l'énergie solaire pour chauffer votre habitation. Le gaz naturel est meilleur pour l'environnement que l'électricité mais certains quartiers n'y ont pas nécessairement accès. Contactez votre fournisseur d'électricité, étant donné que certains proposent des options écologiques qui utilisent les ressources éoliennes, solaires et renouvelables.
Système de chauffage: vous devez choisir le système de chauffage approprié à votre habitation. Vous devrez envisager la taille de l'espace que vous souhaitez chauffer, le type de combustible et de chauffage.
À propos de l'auteur :
Trouvez votre bien immobilier à Thionville ou votre immobilier à Mulhouse sur immoregion.fr.
mercredi 9 mars 2011
Comment faire pleuvoir dans le sahara
Au début du 21° siècle, nous sommes capables de construire des iles artificielles pour attirer les touristes et des stations de sport d' hiver en plein désert. Alors faire pleuvoir dans le Sahara pour stopper l' avancée su Sahel, est-ce possible ?
Peut-être mais cela aura un coût économique pour construire les infrastructures nécessaires
Imaginons plusieurs hectares de capteurs solaires flottant sur les côtes de la Mauritanie par exemple.
Ces capteurs sont de grandes couvertures foncées munies d'une cheminées. Les rayons du soleil évaporent l 'eau de mer. Cette vapeur est collectée grâce aux cheminées, acheminée sur terre grâce à un réseau de pipeline et, par condensation, stockée sous forme d'eau douce dans des réservoirs situés enterrés dans les dunes avoisinantes. Quand le réservoir est plein, le surplus est à nouveau évaporé ( la journée) grâce à des capteurs solaires, terrestre cette fois.
La vapeur générée monte d'elle même pour être de nouveau stockée dans un deuxième réservoir en amont et situé plus loin dans les terres. Et ainsi de suite.
La réserve d'eau douce est ensuite gérée pour l' irrigation d'une partie du territoire environnant le réservoir et pour arroser des plantations d'arbres ( et de potagers accessoirement).
Lorsque ces arbres ont atteint une maturité suffisante pour faire de l 'ombre, l 'évaporation journalière sous les arbres est nettement diminuée, on peut alors utiliser l 'eau douce produite en mer pour étendre la plantation.
Après 150 ans environ, des milliers d 'hectares de forêt sont créés, le Sael à reculé. La forêt génère sa propre pluie et nos capteurs deviennent inutiles.
Pendant 150 ans les fonds marins n'ont pas vu la lumière du jour. La faune et la flore de proximité est morte, mais une partie du désert est maintenant une forêt équatoriale qui poursuit naturellement son développement comparable à celle des Antilles. Le démontage du capteur solaire permet à la lumière du soleil de reconstruire l'œuvre vivante en quelques années.
LA NATURE NOUS FAIT VIVRE, AIDONS LA !
Mais cette solution n 'est pas idéale. Comment pourrait on arrivé au même résultat sans toucher à la faune et à la flore marine ?
La solution est le marais salant !
Partons du principe qu'il faut environ 30 litres d'eau de mer pour produire 1kg de sel. Sachant que les "Salins du Midi" produisent 340 000 tonnes de sel par an, on peut dire qu'ils évaporent 10 milliards de litres d'eau de mer par an grâce à une énergie gratuite, le soleil. Cette vapeur est rejetée dans l 'atmosphère car chez nous, elle ne vaut pas grand chose.
Imaginons la même entreprise sur les côtes mauritanienne avec un rendement 2 fois supérieur car cette région est nettement plus exposée. Imaginons aussi que nous puissions, grâce à des capteurs solaires, multiplier encore par 2 le processus d 'évaporation et capter la vapeur pour la restituée condensée dans des réservoirs. Ce serait 40 milliards de litres d'eau douce produits par an.
Des marais salants circulaires recouverts de capteurs solaires multipliant le taux d'évaporation et récupérant la vapeur pour la condenser dans de grands réservoirs centraux. Le trop-plein est rediriger naturellement ( par évaporation) vers des réservoirs de stockage en amont. 40 800 000 tonnes d'eau douce par an !!
Après quelques décennies la forêt crée est suffisamment importante pour générer de la pluie. l 'irrigation n'est plus nécessaire à cet endroit. des réservoirs peuvent être construit plus loin dans les terres.
http://wagane.free.fr
À propos de l'auteur :
Hugues Boyenval, designer naval, dessine des bateaux électriques fonctionnant grâce aux énergies solaire, éolienne et hydrogène depuis plus de 10 ans. 30 ans au service de l'environnement? tout d'abord dans la collecte et le recyclage des déchets industriels puis dans les énergies renouvelables.
http://wagane.free.fr
Peut-être mais cela aura un coût économique pour construire les infrastructures nécessaires
Imaginons plusieurs hectares de capteurs solaires flottant sur les côtes de la Mauritanie par exemple.
Ces capteurs sont de grandes couvertures foncées munies d'une cheminées. Les rayons du soleil évaporent l 'eau de mer. Cette vapeur est collectée grâce aux cheminées, acheminée sur terre grâce à un réseau de pipeline et, par condensation, stockée sous forme d'eau douce dans des réservoirs situés enterrés dans les dunes avoisinantes. Quand le réservoir est plein, le surplus est à nouveau évaporé ( la journée) grâce à des capteurs solaires, terrestre cette fois.
La vapeur générée monte d'elle même pour être de nouveau stockée dans un deuxième réservoir en amont et situé plus loin dans les terres. Et ainsi de suite.
La réserve d'eau douce est ensuite gérée pour l' irrigation d'une partie du territoire environnant le réservoir et pour arroser des plantations d'arbres ( et de potagers accessoirement).
Lorsque ces arbres ont atteint une maturité suffisante pour faire de l 'ombre, l 'évaporation journalière sous les arbres est nettement diminuée, on peut alors utiliser l 'eau douce produite en mer pour étendre la plantation.
Après 150 ans environ, des milliers d 'hectares de forêt sont créés, le Sael à reculé. La forêt génère sa propre pluie et nos capteurs deviennent inutiles.
Pendant 150 ans les fonds marins n'ont pas vu la lumière du jour. La faune et la flore de proximité est morte, mais une partie du désert est maintenant une forêt équatoriale qui poursuit naturellement son développement comparable à celle des Antilles. Le démontage du capteur solaire permet à la lumière du soleil de reconstruire l'œuvre vivante en quelques années.
LA NATURE NOUS FAIT VIVRE, AIDONS LA !
Mais cette solution n 'est pas idéale. Comment pourrait on arrivé au même résultat sans toucher à la faune et à la flore marine ?
La solution est le marais salant !
Partons du principe qu'il faut environ 30 litres d'eau de mer pour produire 1kg de sel. Sachant que les "Salins du Midi" produisent 340 000 tonnes de sel par an, on peut dire qu'ils évaporent 10 milliards de litres d'eau de mer par an grâce à une énergie gratuite, le soleil. Cette vapeur est rejetée dans l 'atmosphère car chez nous, elle ne vaut pas grand chose.
Imaginons la même entreprise sur les côtes mauritanienne avec un rendement 2 fois supérieur car cette région est nettement plus exposée. Imaginons aussi que nous puissions, grâce à des capteurs solaires, multiplier encore par 2 le processus d 'évaporation et capter la vapeur pour la restituée condensée dans des réservoirs. Ce serait 40 milliards de litres d'eau douce produits par an.
Des marais salants circulaires recouverts de capteurs solaires multipliant le taux d'évaporation et récupérant la vapeur pour la condenser dans de grands réservoirs centraux. Le trop-plein est rediriger naturellement ( par évaporation) vers des réservoirs de stockage en amont. 40 800 000 tonnes d'eau douce par an !!
Après quelques décennies la forêt crée est suffisamment importante pour générer de la pluie. l 'irrigation n'est plus nécessaire à cet endroit. des réservoirs peuvent être construit plus loin dans les terres.
http://wagane.free.fr
À propos de l'auteur :
Hugues Boyenval, designer naval, dessine des bateaux électriques fonctionnant grâce aux énergies solaire, éolienne et hydrogène depuis plus de 10 ans. 30 ans au service de l'environnement? tout d'abord dans la collecte et le recyclage des déchets industriels puis dans les énergies renouvelables.
http://wagane.free.fr
mardi 8 mars 2011
Maison et respect de l'environnement:étroitement liés
Dans notre monde moderne, il faut qu'à la maison le respect de l'environnement soit une des règles de vie de ses occupants, car notre planète est en danger et ce plus que jamais.
L'avenir de la planète passe impérativement par la maison, par le foyer, là où l'on peut très facilement poser des gestes qui vont à l'encontre du respect de l'environnement. Une maison saine et écologique doit être équipée de tout ce qui peut aider efficacement et durablement à la protection de l'environnement. C'est déjà un plus de savoir que plusieurs organismes nationaux agissent dans le sens de la protection de l'environnement, mais il faut aussi que les citoyens dans leurs foyers agissent également dans le même sens.
La maison et le respect de l'environnement peuvent être étroitement liés à condition de l'équiper correctement et de faire des gestes simples à l'intérieur de celle-ci. Il faut y installer des appareils qui consomment le moins d'énergie possible, l'isoler correctement contre la chaleur et le froid afin utiliser au minimum le ventilateur, climatiseur et le chauffage. Les ampoules devraient être changées pour des ampoules fluocompact qui consomment environ 80% moins d'énergie que les ampoules régulières. Il faut cependant porter attention aux marques d'ampoules qui contiennent du mercure et s'assurer de disposer de celles-ci dans les endroits prévus à cet effet et non pas à la poubelle, car cela ira contaminer les sols des sites d'enfouissement.
Adopter l'habitude de faire le tri sélectif dans sa maison est un geste de respect envers l'environnement, car celui-ci facilite le recyclage de certains déchets et réduit les déchets dans les sites d'enfouissement. Par des gestes tout simples et quotidiens de protection de l'environnement, nous pouvons changer le cours des choses en pensant à nos enfants. Revoir ses habitudes peut faire beaucoup de bien alors aucune hésitation à avoir.
Envie d'agir pour la planète ? Commencez par la maison et le respect de l'environnement sera ainsi le plus simple et efficace!
À propos de l'auteur :
Découvrez tout sur les produits biologiques, écologiques et équitables sur BioEcolo:
http://www.bioecolo.com
L'avenir de la planète passe impérativement par la maison, par le foyer, là où l'on peut très facilement poser des gestes qui vont à l'encontre du respect de l'environnement. Une maison saine et écologique doit être équipée de tout ce qui peut aider efficacement et durablement à la protection de l'environnement. C'est déjà un plus de savoir que plusieurs organismes nationaux agissent dans le sens de la protection de l'environnement, mais il faut aussi que les citoyens dans leurs foyers agissent également dans le même sens.
La maison et le respect de l'environnement peuvent être étroitement liés à condition de l'équiper correctement et de faire des gestes simples à l'intérieur de celle-ci. Il faut y installer des appareils qui consomment le moins d'énergie possible, l'isoler correctement contre la chaleur et le froid afin utiliser au minimum le ventilateur, climatiseur et le chauffage. Les ampoules devraient être changées pour des ampoules fluocompact qui consomment environ 80% moins d'énergie que les ampoules régulières. Il faut cependant porter attention aux marques d'ampoules qui contiennent du mercure et s'assurer de disposer de celles-ci dans les endroits prévus à cet effet et non pas à la poubelle, car cela ira contaminer les sols des sites d'enfouissement.
Adopter l'habitude de faire le tri sélectif dans sa maison est un geste de respect envers l'environnement, car celui-ci facilite le recyclage de certains déchets et réduit les déchets dans les sites d'enfouissement. Par des gestes tout simples et quotidiens de protection de l'environnement, nous pouvons changer le cours des choses en pensant à nos enfants. Revoir ses habitudes peut faire beaucoup de bien alors aucune hésitation à avoir.
Envie d'agir pour la planète ? Commencez par la maison et le respect de l'environnement sera ainsi le plus simple et efficace!
À propos de l'auteur :
Découvrez tout sur les produits biologiques, écologiques et équitables sur BioEcolo:
http://www.bioecolo.com
lundi 7 mars 2011
De l'électricité produite de façon responsable à partir de déchets
CHO-Power est un concept innovant permettant la production d'énergie renouvelable par la valorisation de déchets.
Les centrales électriques CHO-Power ont des performances énergétiques et environnementales qui permettent de hauts rendements avec un impact écologique minimal.
La première unité CHO-Power est située en France à Morcenx (Landes) pour une mise en service prévue au deuxième semestre 2011.
Un concept innovant de bioélectricité
CHO-Power est un nouveau concept de valorisation énergétique des déchets résiduels reposant sur le procédé connu de la gazéification améliorée par les avancées technologiques récentes des torches à plasma.
La gazéification est un procédé thermique qui consiste à chauffer des éléments principalement organiques (déchets, biomasse…) dans une atmosphère en défaut d'air. Les éléments carbonés vont réagir avec la vapeur d'eau et le CO2, à une température d'au moins 600°C. On obtient donc principalement un gaz composé de monoxyde de carbone et d'hydrogène, appelé gaz de synthèse ou syngaz.
L'intérêt d'un tel procédé est de pouvoir convertir un élément solide en gaz chaud dont le pouvoir combustible est récupéré pour produire de l'électricité.
Une gestion raisonnée des déchets
CHO-Power permet ainsi de produire de l'électricité de façon responsable à partir de déchets.
Une fois produit, un déchet est considéré comme un gisement potentiel d'énergie et de matière.
C'est pourquoi dans le cadre d'une gestion responsable, on cherchera prioritairement à le valoriser, avant de l'éliminer.
Les avantages de CHO-Power
• De l'énergie locale avec des ressources locales : la ressource (les déchets) est transformée pour être ensuite redistribuée sous forme d'électricité.
• Un excellent rendement : un rendement électrique de 35 à 40 %.
• Une très faible empreinte environnementale : peu de volumes de gaz engagés et donc traités. Aucun résidu n'est rendu au sol sur le site de l'installation, il n'y a pas d'eau rejetée en rivière.
• Des installations compactes et gracieuses : des centrales peu volumineuses qui se fondent parfaitement dans le paysages local.
• Une excellente complémentarité avec les autres procédés de recyclages classiques.
En savoir plus : http://www.cho-power.com
À propos de l'auteur :
Contacts Presse
Cédric BERARD contactbourse@europlasma.com Tél : 05 56 49 70 00
Agence Calyptus europlasma@calyptus.net Tél : 01 53 65 68 68
Les centrales électriques CHO-Power ont des performances énergétiques et environnementales qui permettent de hauts rendements avec un impact écologique minimal.
La première unité CHO-Power est située en France à Morcenx (Landes) pour une mise en service prévue au deuxième semestre 2011.
Un concept innovant de bioélectricité
CHO-Power est un nouveau concept de valorisation énergétique des déchets résiduels reposant sur le procédé connu de la gazéification améliorée par les avancées technologiques récentes des torches à plasma.
La gazéification est un procédé thermique qui consiste à chauffer des éléments principalement organiques (déchets, biomasse…) dans une atmosphère en défaut d'air. Les éléments carbonés vont réagir avec la vapeur d'eau et le CO2, à une température d'au moins 600°C. On obtient donc principalement un gaz composé de monoxyde de carbone et d'hydrogène, appelé gaz de synthèse ou syngaz.
L'intérêt d'un tel procédé est de pouvoir convertir un élément solide en gaz chaud dont le pouvoir combustible est récupéré pour produire de l'électricité.
Une gestion raisonnée des déchets
CHO-Power permet ainsi de produire de l'électricité de façon responsable à partir de déchets.
Une fois produit, un déchet est considéré comme un gisement potentiel d'énergie et de matière.
C'est pourquoi dans le cadre d'une gestion responsable, on cherchera prioritairement à le valoriser, avant de l'éliminer.
Les avantages de CHO-Power
• De l'énergie locale avec des ressources locales : la ressource (les déchets) est transformée pour être ensuite redistribuée sous forme d'électricité.
• Un excellent rendement : un rendement électrique de 35 à 40 %.
• Une très faible empreinte environnementale : peu de volumes de gaz engagés et donc traités. Aucun résidu n'est rendu au sol sur le site de l'installation, il n'y a pas d'eau rejetée en rivière.
• Des installations compactes et gracieuses : des centrales peu volumineuses qui se fondent parfaitement dans le paysages local.
• Une excellente complémentarité avec les autres procédés de recyclages classiques.
En savoir plus : http://www.cho-power.com
À propos de l'auteur :
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dimanche 6 mars 2011
La maison bioclimatique
La maison bioclimatique est un concept architectural qui intègre les conditions climatiques et environnementales pour créer un confort thermique dans l'habitat.
Ce concept ne date pas d'hier; dans tous les pays les populations ont toujours recherché à se protéger du froid, du vent et à profiter de la chaleur et de la lumière du soleil. Parallèlement elles ont su utiliser au mieux et adapter le relief et la végétation pour un meilleur confort, gage d'une meilleure qualité de vie.
Avec le développement d'une économie fondée depuis plus d'un demi siècle sur une consommation effrénée nous avons oublié les principes de construction économe en énergie, soucieuse de la santé comme de l'environnement.
Aujourd'hui l'obligation du développement durable nous impose de reconsidérer nos modes de construction en alliant les connaissances et les techniques d'un passé pas si lointain et celles de notre temps en excluant tous les équipements par trop mécaniques car consommateurs d'énergie (VMC, climatisation, etc.).
La maison bioclimatique se doit de satisfaire quatre fonctions principales : capter le rayonnement solaire, stocker l'énergie captée, distribuer cette chaleur et la réguler. Rien de bien original si ce n'est qu'il est exclu d'avoir recours aux énergies fossiles (gaz, charbon, fioul) pour le chauffage et la climatisation mais uniquement aux énergies renouvelables : soleil bien sûr et en complément le bois-énergie.
L'habitat doit faire corps avec son écosystème local c'est à dire l'ensemble des espèces vivantes (faune et flore) et des éléments inertes (eau, air, sol) interagissant au sein de son milieu (forêt, champ). La relation avec le passé est aussi à prendre en compte (culture et l'histoire du lieu).
La sélection du terrain réalisée ( ensoleillé à l'abri des vents, loin des nuisances), le volume (compact et simple)et les orientations du bâti (larges ouvertures au sud pour les pièces à vivre) sont les éléments de base et de bon sens pour une construction bioclimatique. L'installation d'une véranda judicieusement conçue peut fournir jusqu'à 30% du chauffage de la maison.
Les matériaux accumulateurs thermiques traditionnels (pierre, terre cuite, etc.) et les isolants thermiques naturels (ouate de cellulose, chanvre, paille, etc.) sont les constituants incontournables pour minimiser la consommation d'énergie et assurer un air de qualité. Attention, le bois n'est pas un bon accumulateur thermique et certains matériaux sains peuvent être des gouffres énergétiques lors de leur élaboration. (se renseigner avant l'achat).
Une ventilation naturelle appropriée assurera un air intérieur sain et renouvelé garanti par le choix de peintures d'intérieur à l'eau et de mobilier en bois massif (sans liants chimiques susceptibles de relarguer lentement dans l'atmosphère).
L'environnement immédiat est mis à profit directement par la récupération de la chaleur du sol véritable accumulateur thermique ( puits canadien) , par la collecte des eaux de pluie (lave-vaisselle, lave-linge, WC, arrosage), la plantation d'arbres (association feuillus et résineux), le palissage des murs par de plantes grimpantes (protection estivale des murs orientés au soleil).
La végétalisation d'une terrasse ou d'un toit en légère pente permet non seulement de récupérer les eaux de pluie, mais aussi de fixer les poussières atmosphériques, d'améliorer l'acoustique et la thermique du bâti, sans oublier un indéniable côté esthétique.
La construction d'une maison bioclimatique ne nécessite nullement l'achat et l'installation de systèmes complexes et onéreux mais consiste seulement à réaliser intelligemment et consciemment un habitat sain, économe en énergie tout en gagnant en confort et donc en qualité de vie. Il existe quelques règles de construction pour réduire l'impact négatif du bâti sur notre environnement naturel mais il demeure suffisamment de degrés de liberté pour faire une réalisation à sa convenance.
À propos de l'auteur :
Ecrit par Alain Tranchemer pour EspaceEcologie.com. En souscrivant à notre newsletter gratuite, vous apprendrez à réduire à la fois votre facture énergétique et votre empreinte écologique
Ce concept ne date pas d'hier; dans tous les pays les populations ont toujours recherché à se protéger du froid, du vent et à profiter de la chaleur et de la lumière du soleil. Parallèlement elles ont su utiliser au mieux et adapter le relief et la végétation pour un meilleur confort, gage d'une meilleure qualité de vie.
Avec le développement d'une économie fondée depuis plus d'un demi siècle sur une consommation effrénée nous avons oublié les principes de construction économe en énergie, soucieuse de la santé comme de l'environnement.
Aujourd'hui l'obligation du développement durable nous impose de reconsidérer nos modes de construction en alliant les connaissances et les techniques d'un passé pas si lointain et celles de notre temps en excluant tous les équipements par trop mécaniques car consommateurs d'énergie (VMC, climatisation, etc.).
La maison bioclimatique se doit de satisfaire quatre fonctions principales : capter le rayonnement solaire, stocker l'énergie captée, distribuer cette chaleur et la réguler. Rien de bien original si ce n'est qu'il est exclu d'avoir recours aux énergies fossiles (gaz, charbon, fioul) pour le chauffage et la climatisation mais uniquement aux énergies renouvelables : soleil bien sûr et en complément le bois-énergie.
L'habitat doit faire corps avec son écosystème local c'est à dire l'ensemble des espèces vivantes (faune et flore) et des éléments inertes (eau, air, sol) interagissant au sein de son milieu (forêt, champ). La relation avec le passé est aussi à prendre en compte (culture et l'histoire du lieu).
La sélection du terrain réalisée ( ensoleillé à l'abri des vents, loin des nuisances), le volume (compact et simple)et les orientations du bâti (larges ouvertures au sud pour les pièces à vivre) sont les éléments de base et de bon sens pour une construction bioclimatique. L'installation d'une véranda judicieusement conçue peut fournir jusqu'à 30% du chauffage de la maison.
Les matériaux accumulateurs thermiques traditionnels (pierre, terre cuite, etc.) et les isolants thermiques naturels (ouate de cellulose, chanvre, paille, etc.) sont les constituants incontournables pour minimiser la consommation d'énergie et assurer un air de qualité. Attention, le bois n'est pas un bon accumulateur thermique et certains matériaux sains peuvent être des gouffres énergétiques lors de leur élaboration. (se renseigner avant l'achat).
Une ventilation naturelle appropriée assurera un air intérieur sain et renouvelé garanti par le choix de peintures d'intérieur à l'eau et de mobilier en bois massif (sans liants chimiques susceptibles de relarguer lentement dans l'atmosphère).
L'environnement immédiat est mis à profit directement par la récupération de la chaleur du sol véritable accumulateur thermique ( puits canadien) , par la collecte des eaux de pluie (lave-vaisselle, lave-linge, WC, arrosage), la plantation d'arbres (association feuillus et résineux), le palissage des murs par de plantes grimpantes (protection estivale des murs orientés au soleil).
La végétalisation d'une terrasse ou d'un toit en légère pente permet non seulement de récupérer les eaux de pluie, mais aussi de fixer les poussières atmosphériques, d'améliorer l'acoustique et la thermique du bâti, sans oublier un indéniable côté esthétique.
La construction d'une maison bioclimatique ne nécessite nullement l'achat et l'installation de systèmes complexes et onéreux mais consiste seulement à réaliser intelligemment et consciemment un habitat sain, économe en énergie tout en gagnant en confort et donc en qualité de vie. Il existe quelques règles de construction pour réduire l'impact négatif du bâti sur notre environnement naturel mais il demeure suffisamment de degrés de liberté pour faire une réalisation à sa convenance.
À propos de l'auteur :
Ecrit par Alain Tranchemer pour EspaceEcologie.com. En souscrivant à notre newsletter gratuite, vous apprendrez à réduire à la fois votre facture énergétique et votre empreinte écologique
samedi 5 mars 2011
Pollution, co2, voiture et vous
Les rejets de Co2 des voitures participent à l'effet de serre et à la pollution de notre planète. Que faire pour diminuer le co2 émis par votre voiture ?
Si vous voulez polluer le moins possible au volant de votre véhicule, le meilleur choix ces temps-ci sont les voiture hybrides ou à gaz naturel. C'est en tous cas ce que révèle le rapport de l'Empa (http://www.empa.ch). Un laboratoire fédéral suisse qui s'est entre autre spécialisé dans les carburants alternatifs, dont le gaz. À ce propos il paraîtrait que le taux d'émission de co2 des voitures à gaz soit plus bas que celui des voitures hybrides sur autoroute et que celles-ci reprennent l'avantage dans un environnement urbain.
D'après les tests de ce laboratoire, les voitures à essence ou diesel arrivent bien derrière en ce qui concerne les émission de CO2. Or l'émission de CO2 des voitures serait responsable de près de 26% du phénomène de réchauffement que doit endurer notre atmosphère.
Co2 et voiture, le couple infernal ?
Le Co2, ou gaz carbonique, est un gaz à effet de serre. Ce type de gaz a la facheuse habitude d'absorber le rayonnement infrarouge, les couleurs invisibles à l'oeil nu et qui se situent avant le rouge de l'arc-en-ciel. À cause de cela le rayonnement solaire est bloqué en partie entre la terre et notre atmosphère, ce que l'on croit responsable du réchauffement planétaire. Dans ce phénomène du à l'augmentation des émissions de co2, voiture et autres moyens de transport y sont donc pour beaucoup.
L'EMPA travaille actuellement sur des prototypes de véhicules hybrides au gaz dans le but de minimiser de 30% les émissions de co2 d'une voiture. Le laboratoire travaille de concert avec Volkswagen et l'EPF de Zurich. Ainsi, pour eux, la meilleure alternative sont le véhicules fonctionnant au gaz ou l'hydrogène.
En diminuant de 25 à 30 % des émissions de co2, voiture, autocar et camion pourraient alors devenir un état de fait clairement moins menaçant concernant la pollution. Mais est-ce véritablement une solution rapide ? Vous-même avez probablement déjà un véhicule que vous ne souhaitez pas nécessairement changer très bientôt au profit d'un véhicule hybride. Bien sûr, la protection de notre atmosphère est une priorité, mais il faut néanmoins avoir les moyens financiers pour acheter un nouveau véhicule étudié pour être moins polluant.
Que faire alors, pour baisser le co2 de votre voiture ?
Des systèmes assez facile à mettre en place peuvent être placés sur votre véhicule et abaisser sa consommation d'essence de 35 à 45%. Ces astuces ont été testées et marchent vraiment. Qui dit diminution de consommation, dit également diminution des rejets. Ainsi, si votre voiture consomme 35% d'essence en moins, du jour au lendemain, son émission de co2 diminuera d'autant. Ce qui est un pas de géant dans la quête de la diminution des émissions de co2 des voitures.
Pour en savoir plus cliquez sur:
http://www.consommationessence.com/co2-voiture/co2-voiture.htm
À propos de l'auteur :
Chris vous donne de nombreux conseils gratuitement pour baisser votre consommation d'essence et ainsi profiter d'une voiture pas chère et qui pollue moins. Si vous êtes soucieux de faire des économies, imaginez ce que peux représenter de diminuer votre consommation d'essence de 35 à 45%. Cela représente de grande quantité d'argent économisé tout en diminuant nettement la pollution et le CO2 de votre voiture. Visitez :
http://www.consommationessence.com/co2-voiture/co2-voiture.htm
pour en savoir plus.
Si vous voulez polluer le moins possible au volant de votre véhicule, le meilleur choix ces temps-ci sont les voiture hybrides ou à gaz naturel. C'est en tous cas ce que révèle le rapport de l'Empa (http://www.empa.ch). Un laboratoire fédéral suisse qui s'est entre autre spécialisé dans les carburants alternatifs, dont le gaz. À ce propos il paraîtrait que le taux d'émission de co2 des voitures à gaz soit plus bas que celui des voitures hybrides sur autoroute et que celles-ci reprennent l'avantage dans un environnement urbain.
D'après les tests de ce laboratoire, les voitures à essence ou diesel arrivent bien derrière en ce qui concerne les émission de CO2. Or l'émission de CO2 des voitures serait responsable de près de 26% du phénomène de réchauffement que doit endurer notre atmosphère.
Co2 et voiture, le couple infernal ?
Le Co2, ou gaz carbonique, est un gaz à effet de serre. Ce type de gaz a la facheuse habitude d'absorber le rayonnement infrarouge, les couleurs invisibles à l'oeil nu et qui se situent avant le rouge de l'arc-en-ciel. À cause de cela le rayonnement solaire est bloqué en partie entre la terre et notre atmosphère, ce que l'on croit responsable du réchauffement planétaire. Dans ce phénomène du à l'augmentation des émissions de co2, voiture et autres moyens de transport y sont donc pour beaucoup.
L'EMPA travaille actuellement sur des prototypes de véhicules hybrides au gaz dans le but de minimiser de 30% les émissions de co2 d'une voiture. Le laboratoire travaille de concert avec Volkswagen et l'EPF de Zurich. Ainsi, pour eux, la meilleure alternative sont le véhicules fonctionnant au gaz ou l'hydrogène.
En diminuant de 25 à 30 % des émissions de co2, voiture, autocar et camion pourraient alors devenir un état de fait clairement moins menaçant concernant la pollution. Mais est-ce véritablement une solution rapide ? Vous-même avez probablement déjà un véhicule que vous ne souhaitez pas nécessairement changer très bientôt au profit d'un véhicule hybride. Bien sûr, la protection de notre atmosphère est une priorité, mais il faut néanmoins avoir les moyens financiers pour acheter un nouveau véhicule étudié pour être moins polluant.
Que faire alors, pour baisser le co2 de votre voiture ?
Des systèmes assez facile à mettre en place peuvent être placés sur votre véhicule et abaisser sa consommation d'essence de 35 à 45%. Ces astuces ont été testées et marchent vraiment. Qui dit diminution de consommation, dit également diminution des rejets. Ainsi, si votre voiture consomme 35% d'essence en moins, du jour au lendemain, son émission de co2 diminuera d'autant. Ce qui est un pas de géant dans la quête de la diminution des émissions de co2 des voitures.
Pour en savoir plus cliquez sur:
http://www.consommationessence.com/co2-voiture/co2-voiture.htm
À propos de l'auteur :
Chris vous donne de nombreux conseils gratuitement pour baisser votre consommation d'essence et ainsi profiter d'une voiture pas chère et qui pollue moins. Si vous êtes soucieux de faire des économies, imaginez ce que peux représenter de diminuer votre consommation d'essence de 35 à 45%. Cela représente de grande quantité d'argent économisé tout en diminuant nettement la pollution et le CO2 de votre voiture. Visitez :
http://www.consommationessence.com/co2-voiture/co2-voiture.htm
pour en savoir plus.
vendredi 4 mars 2011
Déforestation : la France co-préside le partenariat REDD+ avec le Brésil
Depuis le début du mois de janvier 2011, et alors que démarre l’Année internationale des forêts, la France assure avec le Brésil la co-présidence du Partenariat REDD+, partenariat sur la déforestation évitée dans les pays en développement. Cela, pour une période de six mois.
Le Partenariat REDD+, lancé par la France et la Norvège l’année dernière rassemble à ce jour 71 pays forestiers et donateurs et mobilise près de 4 milliards de dollars de financement « fast-start » REDD+ sur trois ans.
A l'origine a été lancé le Mécanisme REDD : Reducing Emissions from Deforestation and Degradation. C'est une Initiative annoncée en 2008, qui doit permettre de rémunérer les pays en développement qui réussissent à préserver leurs forêts ou à en accroître la superficie.
Ce dispositif a pris le nom de « REDD + » (« réduction des missions de gaz à effet de serre dues à la déforestation et la dégradation forestière et le rôle de la conservation, de la gestion forestière et de l’accroissement des stocks de carbone » ) lorsqu’en plus des émissions évitées ont été prises en compte la capacité de stockage de carbone des forêts (maintien et augmentation des stocks de carbone existants), la bonne gouvernance et l’aménagement des forêts :
- besoin d’une bonne gouvernance forestière
- respect des droits des populations autochtones et des membres des communautés locales
- protection de la diversité biologique et des services écosystémiques.
La décision obtenue à Cancun sur REDD+ renforce l’utilité du Partenariat en tant que plateforme intérimaire de coopération volontaire politique et technique entre pays donateurs et pays forestiers. Enrichissement de la base de données des actions et du financement REDD+ , exploitation de l’analyse sur les insuffisances et les recouvrements financiers , étude sur l’efficacité des initiatives multilatérales REDD+ et renforcement de capacités des institutions seront les thèmes prioritaires de la co-présidence.
mercredi 2 mars 2011
CHANGEMENT CLIMATIQUE
Alors que le Sommet de Copenhague s’est soldé par un accord au rabais - un texte politique listant sur deux pages les bonnes intentions sans contrainte des principaux pollueurs de la planète - la bataille du changement climatique est loin d’être terminée.
Le Sommet de Copenhague a laissé des traces. Certes, de nombreux murs sont tombés, mettant fin aux anciens clivages ; Copenhague a marqué le début d’une véritable prise de conscience mondiale du problème du changement climatique et tout le monde est d’accord pour s’y attaquer. Mais les divergences sont fortes sur les moyens d’agir et les efforts à fournir. A Copenhague, les États se sont mis d’accord au pied du mur, et sur le plus petit dénominateur commun.
Le prochain sommet qui aura lieu à Cancún du 29 novembre au 10 décembre 2010 doit déboucher sur des succès sur plusieurs questions techniques prometteuses qui traceront la voie vers un accord complet et juridiquement contraignant en Afrique du Sud en 2011.
Mais au-delà des Nations Unies , la mutation écologique de notre société se joue aussi ici et maintenant et chacun de nous, chaque individu, chaque entreprise, chaque territoire, doit initier concrètement cette transformation à son niveau. Forts de leurs expertises, les programmes du WWF se déploient pour accompagner chaque acteur dans cette démarche.
Pour aller plus loin : Analyse du WWF de l'accord de Copenhague
FACE À CE CONSTAT, LE WWF SE MOBILISE :
- Pourquoi faut-il éviter un réchauffement de plus de 2°C ?
- Faire face au péril climatique, c’est possible ?
- Emploi, santé… on a tout à gagner à passer à l’action !
- Comment réduire vos propres émissions de gaz à effet de serre ?
- La réduction nécessaire des gaz à effet de serre en France
- Politiques climatique et énergétique : le WWF-France s’engage aux niveaux européen et international
Lutte contre la déforestation : la France plaide pour des financements ''innovants''
Afin d'enrayer la perte des forêts tropicales, le député Jacques Le Guen appelle, dans un rapport remis hier à l'Elysée, à la création d'un fonds mondial de reboisement alimenté par des taxes sur les transactions financières ou les huiles végétales.
(© Michel Stock)
Selon la FAO, 13 millions d'hectares de forêt disparaissent chaque année dans le monde, au profit de l'agriculture, de l'élevage ou du commerce du bois dont 20 à 40 % seraient d'origine illicite. Si la déforestation a toutefois ralenti depuis 2000 - notamment grâce aux programmes de boisements en Asie - elle se poursuit à un taux élevé en Afrique (bassin du Congo) et en Amérique du Sud (Amazonie). Conséquences : la déforestation, à l'origine de 18 à 25% des émissions de gaz à effet de serre (GES), aggrave le changement climatique.
Le mécanisme de marché carbone REDD…
En décembre 2009, l'accord trouvé à la conférence sur le climat de Copenhague a permis d'avancer sur la question de la lutte contre la déforestation. Les discussions s'étaient cristallisées autour du mécanisme de financement REDD (Réductions des Emissions issues de la Déforestation et de la Dégradation). Lancé par la France et la Norvège, le Partenariat mondial pour la forêt, officialisé en mai à la conférence d'Oslo, a promis de débloquer 5 milliards de dollars pour la période 2010-2012, inscrit dans le cadre de REDD+. Soit 20 % des financements précoces prévus à Copenhague en faveur des forêts. Ce partenariat mondial se traduit par un engagement financier de 9 pays donateurs (Allemagne, Australie, Danemark, Etats-Unis, France, Japon, Norvège, Royaume-Uni, Suède) en faveur des pays forestiers du Sud (une quarantaine d'Etats).
D'autres mécanismes de lutte contre la déforestation existent comme ceux pilotés par la Banque mondiale ou le Programme des Nations unies pour le développement (Pnud). Mais le montant de ces fonds de soutien se compte en millions de dollars, quand les besoins s'expriment en milliards supplémentaires.
… allié à de nouvelles taxes mondiales ?
Dans un rapport remis le 12 octobre au Président Nicolas Sarkozy, le député du Finistère Jacques Le Guen, préconise d'autres sources financières. Il appelle à la création d'un ''Fonds mondial de reboisement et d'adaptation au changement climatique'' (FRAC), alimenté par des financements ''innovants''. Si avec la démarche REDD+, les moyens financiers seront issus du marché carbone, le député propose d'appliquer aussi de nouvelles taxes mondiales, comme celle sur le défrichement visant ''tous les pays connaissant une déforestation nette''. M. Le Guen propose aussi d'affecter une taxe sur les huiles végétales de palme, soja ou tournesol (estimée à 0,01 € ou $/litre...), ''souvent liées à la déforestation des forêts primaires'', rappelle-t-il, notamment en Asie du Sud-Est. D'autres taxes pourraient aussi être appliquées sur les carburants fossiles (''car la forêt compense leurs GES'') mais aussi l'électricité, les flux financiers mondiaux ou informatiques.
L'idée est de soutenir les pays à protéger leurs forêts tropicales et la biodiversité. Le député insiste sur la nécessité d'une aide internationale pour amener les pays forestiers à ''passer d'une politique d'exploitation à une politique de préservation'', via la création du fonds.
En matière de gouvernance, le député recommande en outre de transformer le ''département forêt'' de la FAO en un Observatoire mondial de la forêt chargé à la fois de la certification de la gestion forestière et du contrôle du taux de boisement. Et ce, à l'aide d'un système international de télédétection par satellites.
Selon l'Elysée, Nicolas Sarkozy a assuré à M. Le Guen que la France ''endosserait ses propositions en matière de gouvernance'' et ''porterait le débat sur la question centrale de la certification forestière'' au sommet sur le climat de Cancún (Mexique) qui se tiendra du 29 novembre au 10 décembre. Une position qui intervient alors que l'Union européenne a officiellement adopté hier le règlement visant à interdire dès 2013 le bois exploité illégalement ou les produits dérivés sur le marché de l'UE.
Le Président de la République a aussi souhaité que soit ''mise à l'étude la possibilité de diriger vers des programmes de valorisation forestière une partie des recettes de la taxe sur les transactions financières'' proposée par Paris dans le cadre du G20.
Le sommet de Cancún doit également examiner la mise en œuvre du mécanisme REDD+ qui doit ''très rapidement être rendue opérationnelle'' et parvenir ''aux pays intéressés'', estime le député. Une solution ''compensatoire'' doit en outre être ''proposée aux pays dépassant le seuil fixé pour en bénéficier'', dans l'atteinte de l'objectif souhaité d'arrêt de la déforestation d'ici 2030. Pour le Centre d'analyse stratégique (CAS), la réussite du partenariat REDD+ dépend d' ''un cadre institutionnel assaini'' dans les pays en développement, ''une clarification des droits fonciers'' et la reconnaissance des peuples autochtones vivant dans ces forêts.
Rachida Boughriet
Le mécanisme de marché carbone REDD…
En décembre 2009, l'accord trouvé à la conférence sur le climat de Copenhague a permis d'avancer sur la question de la lutte contre la déforestation. Les discussions s'étaient cristallisées autour du mécanisme de financement REDD (Réductions des Emissions issues de la Déforestation et de la Dégradation). Lancé par la France et la Norvège, le Partenariat mondial pour la forêt, officialisé en mai à la conférence d'Oslo, a promis de débloquer 5 milliards de dollars pour la période 2010-2012, inscrit dans le cadre de REDD+. Soit 20 % des financements précoces prévus à Copenhague en faveur des forêts. Ce partenariat mondial se traduit par un engagement financier de 9 pays donateurs (Allemagne, Australie, Danemark, Etats-Unis, France, Japon, Norvège, Royaume-Uni, Suède) en faveur des pays forestiers du Sud (une quarantaine d'Etats).
D'autres mécanismes de lutte contre la déforestation existent comme ceux pilotés par la Banque mondiale ou le Programme des Nations unies pour le développement (Pnud). Mais le montant de ces fonds de soutien se compte en millions de dollars, quand les besoins s'expriment en milliards supplémentaires.
… allié à de nouvelles taxes mondiales ?
Dans un rapport remis le 12 octobre au Président Nicolas Sarkozy, le député du Finistère Jacques Le Guen, préconise d'autres sources financières. Il appelle à la création d'un ''Fonds mondial de reboisement et d'adaptation au changement climatique'' (FRAC), alimenté par des financements ''innovants''. Si avec la démarche REDD+, les moyens financiers seront issus du marché carbone, le député propose d'appliquer aussi de nouvelles taxes mondiales, comme celle sur le défrichement visant ''tous les pays connaissant une déforestation nette''. M. Le Guen propose aussi d'affecter une taxe sur les huiles végétales de palme, soja ou tournesol (estimée à 0,01 € ou $/litre...), ''souvent liées à la déforestation des forêts primaires'', rappelle-t-il, notamment en Asie du Sud-Est. D'autres taxes pourraient aussi être appliquées sur les carburants fossiles (''car la forêt compense leurs GES'') mais aussi l'électricité, les flux financiers mondiaux ou informatiques.
L'idée est de soutenir les pays à protéger leurs forêts tropicales et la biodiversité. Le député insiste sur la nécessité d'une aide internationale pour amener les pays forestiers à ''passer d'une politique d'exploitation à une politique de préservation'', via la création du fonds.
En matière de gouvernance, le député recommande en outre de transformer le ''département forêt'' de la FAO en un Observatoire mondial de la forêt chargé à la fois de la certification de la gestion forestière et du contrôle du taux de boisement. Et ce, à l'aide d'un système international de télédétection par satellites.
Selon l'Elysée, Nicolas Sarkozy a assuré à M. Le Guen que la France ''endosserait ses propositions en matière de gouvernance'' et ''porterait le débat sur la question centrale de la certification forestière'' au sommet sur le climat de Cancún (Mexique) qui se tiendra du 29 novembre au 10 décembre. Une position qui intervient alors que l'Union européenne a officiellement adopté hier le règlement visant à interdire dès 2013 le bois exploité illégalement ou les produits dérivés sur le marché de l'UE.
Le Président de la République a aussi souhaité que soit ''mise à l'étude la possibilité de diriger vers des programmes de valorisation forestière une partie des recettes de la taxe sur les transactions financières'' proposée par Paris dans le cadre du G20.
Le sommet de Cancún doit également examiner la mise en œuvre du mécanisme REDD+ qui doit ''très rapidement être rendue opérationnelle'' et parvenir ''aux pays intéressés'', estime le député. Une solution ''compensatoire'' doit en outre être ''proposée aux pays dépassant le seuil fixé pour en bénéficier'', dans l'atteinte de l'objectif souhaité d'arrêt de la déforestation d'ici 2030. Pour le Centre d'analyse stratégique (CAS), la réussite du partenariat REDD+ dépend d' ''un cadre institutionnel assaini'' dans les pays en développement, ''une clarification des droits fonciers'' et la reconnaissance des peuples autochtones vivant dans ces forêts.
Rachida Boughriet
mardi 1 mars 2011
L'énergie solaire
On a souvent tendance à penser que l'énergie solaire est une découverte récente, mise à profit grâce à l'invention des cellules photovoltaïques. Mais il est pourtant vrai que le soleil a toujours eu une place extrêmement importante dans nos vies, et ce depuis l'émergence de l'humanité. En effet, déjà bien avant la découverte du feu, le seul moyen de se réchauffer était de s'exposer au soleil. Quant à l'énergie solaire, sans elle, aucun végétal ne pourrait pousser, ce qui en fait un élément indispensable pour cultiver de la nourriture, que ce soit pour notre propre consommation, ou pour nourrir des bêtes qui servent elles aussi à l'alimentation humaine. C'est donc pour cette raison que l'astre solaire a été l'objet de vénérations multiples au cours de l'histoire, notamment chez les civilisations précolombiennes ou celtiques.
Le premier évènement témoignant de l'utilisation du soleil à des fins autres que passives, est attribué à Archimède qui, en 212 avant J.C., incendia toute une flotte romaine au moyen de miroirs en bronze poli, utilisés pour concentrer les rayons solaires. On a d'ailleurs continué à utiliser ce système de concentration de la chaleur solaire pour faire fondre des métaux, ou même pour fournir la chaleur nécessaire à faire fonctionner une locomotive à vapeur. Même encore aujourd'hui, on utilise encore les fours solaires, et le plus puissant au monde, terminé de construire en 1970, se trouve dans les Pyrénées Orientales, à Odeillo Font Romeu.
Depuis l'utilisation du soleil pour sa chaleur, une découverte marquante est intervenue vers la fin du XIXème siècle : celle de la cellule photovoltaïque. Mais il a fallu attendre les années 1970 pour qu'un usage commercial réel des panneaux solaires se développe.
De nos jours, chacun s'accorde à dire que la production d'électricité grâce à l'énergie solaire est l'avenir, et il ne fait aucun doute que les prix de l'énergie solaire deviennent de plus en plus rentables par rapport aux moyens de chauffage tels que le fuel. En effet, la hausse des prix du pétrole conduit même à envisager des prototypes de voitures fonctionnant à l'énergie solaire. Au quotidien, les particuliers se tournent de plus en plus vers les nombreuses alternatives solaires, que ce soit pour se chauffer, pour le chauffe-eau, ou même pour la production d'électricité domestique, les prix des cette dernière connaissant également une hausse constante.
Au-delà de son aspect pratique et du fait que, une fois l'installation de départ amortie, l'énergie solaire est entièrement gratuite, de plus en plus de gens se sentent concernés par les aspects environnementaux de notre mode de vie. En effet, produire de l'électricité et de l'énergie n'est pas sans un impact très important sur le plan écologique, et l'énergie solaire apporte sans conteste une solution propre et durable pour nos besoins en électricité. Nous sommes désormais loin du coût astronomique que représentait l'installation d'un système de chauffe-eau et de production d'énergie solaire il n'y a encore que quelques années, et les constructeurs rivalisent d'ingéniosité pour intégrer le solaire dans notre quotidien, même à plus petite échelle, en proposant des chargeurs solaires pour téléphone portable, baladeurs mp3, ou même des panneaux photovoltaïques à emmener en camping pour alimenter un ordinateur ou d'autres appareils indispensables pour la vie de tous les jours.
À propos de l'auteur :
Mettez à profit l'énergie solaire au quotidien en investissant dans un cuiseur solaire : vous trouverez plusieurs modèles de four solaire sur la boutique en ligne comptoirdusolaire.com.
Le premier évènement témoignant de l'utilisation du soleil à des fins autres que passives, est attribué à Archimède qui, en 212 avant J.C., incendia toute une flotte romaine au moyen de miroirs en bronze poli, utilisés pour concentrer les rayons solaires. On a d'ailleurs continué à utiliser ce système de concentration de la chaleur solaire pour faire fondre des métaux, ou même pour fournir la chaleur nécessaire à faire fonctionner une locomotive à vapeur. Même encore aujourd'hui, on utilise encore les fours solaires, et le plus puissant au monde, terminé de construire en 1970, se trouve dans les Pyrénées Orientales, à Odeillo Font Romeu.
Depuis l'utilisation du soleil pour sa chaleur, une découverte marquante est intervenue vers la fin du XIXème siècle : celle de la cellule photovoltaïque. Mais il a fallu attendre les années 1970 pour qu'un usage commercial réel des panneaux solaires se développe.
De nos jours, chacun s'accorde à dire que la production d'électricité grâce à l'énergie solaire est l'avenir, et il ne fait aucun doute que les prix de l'énergie solaire deviennent de plus en plus rentables par rapport aux moyens de chauffage tels que le fuel. En effet, la hausse des prix du pétrole conduit même à envisager des prototypes de voitures fonctionnant à l'énergie solaire. Au quotidien, les particuliers se tournent de plus en plus vers les nombreuses alternatives solaires, que ce soit pour se chauffer, pour le chauffe-eau, ou même pour la production d'électricité domestique, les prix des cette dernière connaissant également une hausse constante.
Au-delà de son aspect pratique et du fait que, une fois l'installation de départ amortie, l'énergie solaire est entièrement gratuite, de plus en plus de gens se sentent concernés par les aspects environnementaux de notre mode de vie. En effet, produire de l'électricité et de l'énergie n'est pas sans un impact très important sur le plan écologique, et l'énergie solaire apporte sans conteste une solution propre et durable pour nos besoins en électricité. Nous sommes désormais loin du coût astronomique que représentait l'installation d'un système de chauffe-eau et de production d'énergie solaire il n'y a encore que quelques années, et les constructeurs rivalisent d'ingéniosité pour intégrer le solaire dans notre quotidien, même à plus petite échelle, en proposant des chargeurs solaires pour téléphone portable, baladeurs mp3, ou même des panneaux photovoltaïques à emmener en camping pour alimenter un ordinateur ou d'autres appareils indispensables pour la vie de tous les jours.
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